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Jean Forman Portland Babes broken heart since : 19/09/2018 textos de rupture envoyés : 77 la gourmandise : 0 faceclaim : nathalie emmanuel // killer from a gang // kane
| Sujet: sky full of songs Ven 21 Sep - 17:08 | |
| Jean, Forman ft. nathalie emmanuel ≈ crédit@tumblr
"At seventeen, I started to starve myself I thought that love was a kind of emptiness"
(identification complète) Jean. Jolie jupiter. Joie franche qui rend fébrile. Jeannie aussi pour une douceur bucolique. Et Forman. La banalité pour bannière. Gloire sans éclats, les fracas d'une existence trop bancale. Nom qui se fond au sein des méandres cacophoniques. (âge) trentaine à l'horizon, de ces 28 perles d'un râle qui arrose son feu furieux. (lieu et date de naissance) Le 21 avril fut le dôme de son éclosion cacophonique. A Portland même, à porter en elle depuis sa brume effervescente. (statut civil) Exil sentimental qui lui scie au teint. Le morose qui la renvoie aux plaisirs solitaires, aux hémorragies amers. Les émois bavant à la poupe, son moi chagriné. (emploi ou études) En quête de nouvelle besogne. A adosser milles et unes casquettes dans des vies d'antan, ce n'est point l'inconnu qui risque de l'offusquer. Prend et s'éprend de tout, tant que les sous comble les trous de ses poches misères. (orientation sexuelle) Le charme pour la carne. Là où l'amour se pavane toujours au bouts des lèvres adulées; de ces maxillaires d'Achille aux crevasses venustées. Des splendeurs pleins les yeux ivres, à s'abreuver de tourments et tortures que l'autrui lui offre à grosses goulées. (statut financier) $ (traits de caractères) fougueuse; tête brûlée; secrète; solaire; émotive; cultivée; à tendance maladroite; ouverte d'esprit; révoltée; aventurière; créative; sans tact; franche; généreuse; irresponsable; débrouillarde; laxiste; simple; bornée; passionnée; bonne-vivante (doppelganger) nathalie emmanuel. (groupe choisi) toy boy.
Furie sous le cuir. Est ce tourbillon de feu furieux qui balance des vérités embarrassantes, des tourments passagers. Ca parle sans filtre. Des philtres d'amour controversé difficile à digéré. Peine à mesurer ses mots, casse les règles par ses révoltes diurnes. La folie des menteurs, ça la fait tourner en bourrique. Alors, elle préfère les silences ou les danses honnêtes et sans faux-pas. // Le cœur corsaire. Qui se corse sous les flots inconnus. Goût amouraché pour l'exploration. Ça traverse des contrées vermeilles pour en conter leurs merveilles. Ça risque sa stabilité . Les gambettes tatouées par des écorces exotiques, la caboche tannée sous des zéniths à différents angles arrondis. Les aventures en vives peintures qui lui font vibrer l'être. En est polyglotte. De l'espagnol au coréen, en passant par le français et le portugais, il y en a des mots damassés sous la langue. // Les flots qui lui font tanguer le cœur. Nage dès qu'elle peut, les crépuscules souvent dômes de ses sessions aquatiques. Préfère se confronter à la flamme des vagues qu'aux piscines insipides. Et l'air des rives aux galets, parfum salé qui s'accroche sans cesse à ses boucles houleuses. // Chauffarde, elle en a conduit des automobiles, mais pas de la meilleure des façons. Pied un peu lourd sur l'accélérateur, ça se gare sans prendre gare aux voies interdites et la ceinture est plus considérée comme un accessoire de mode qu'autre chose. Et ce bout de papier officiel qu'elle peine à obtenir. Au bout du quatrième échec, elle s'est résolue à la bicyclette. Plus écologique et moins dangereux pour les piétons passagers. // La lève-tard incorrigible. Lit qui est son paisible tombeau, l'accapare de toutes responsabilités matinales. Pourtant, il y a un certain paradoxe chez la lascivité de la farfelue. Adoratrice du zénith et de ses levers panachés, ça n'hésite pas à s'éveiller pour contempler le tableau diurne du matin. Camaïeu chaleureux si plaisant à ses sens idylliques. Pour ensuite replonger dans les méandres de Morphée, sans prêter attention à sa ponctualité. // Maussade automne est la saison bien-aimée. Avec ses cadavres de feuilles vermeilles et ses merveilles en havre écorché. De ses averses en écho tonnerre de son palpitant baveux à ses ballets venteux qui frappent à ses fenêtres. Cajole les crépuscules d'arrière-saison, ces tempêtes amers en bonbon. // Clope toujours pendues, perdues au bout du bec. L'écorchée les chérie ses brindilles funestes. Un peu poivrée, un peu à la menthe, toutes fraîches et toutes rêches. Un laxisme qui embrasse sa dépendance, consume et consomme à grosses goulées une vogue cancérigène.
≈ CONTE DÉFAIT
- Spoiler:
"Très chère Luce,
Tu te souviens de notre première rencontre ? Sous les lauriers de l'école, dans la boue et la lumière de l'automne. C'était avant que les autres rejoignent notre petit groupe de bras cassés. Je n'étais ni la plus grande, ni la plus belle, ni la plus intelligente, mais toi, tu m'as tendu la main et je l'ai prise sans plus jamais la lâcher. On a bien ri, toi et moi. Puis toi, moi et les autres. Henry qui arrivait à loucher pendant deux minutes sans s'arrêter. Sam qui avait le don de toujours s'attirer les ennuis, mais pas grave, nous, on s'égratignait les genoux pour le défendre. Et puis Erwan et ses longs cheveux. On aimait tellement jouer aux coiffeurs avec notre propre salon dans les bois, à lui mettre des fleurs pour illuminer ses mèches ébènes. On était toujours couvert de crasses, mais c'était ça la grâce. Les articulations rougies par le plaisir de découvrir une nature abandonnée à elle-même. A se découvrir soit-même aussi, dans les méandres de nos délires. Partageant nos rêves et nos désillusions, nos peines et nos passions.
Puis je suis partie. Loin. Le père ayant obtenu une mutation et la mère qui s'émerveillait devant l'accroissement du compte bancaire. Mais moi je n'en avais pas envie, Luce. Pourquoi vouloir vous quitter ? Sauf que c'était pas plus mal finalement. Car le morose de Portland, embrumait mes envies d'aventures. Mais je me souviendrais toujours de notre dernier jour. Où dans l'étreinte de nos perles salées et nos oraisons sans craintes, tu m'avais confié une parole pleine d'amour et d'espoir. Et crois-moi, parfois je repense à la danse de nos innocences; à notre errance dans cette vie qui n'avait pas encore trop été cabossé par les fatalités poignantes. Et le lendemain, j'étais dans l'avion. Tu peux me croire, là-bas, le vert était d'un monotone sans nom. Moi qui chérissais la pluie et ses folies, celle de Dublin était sans saveur. Bien triste sans toi pour courir dans les flaques tête la première.
Alors la fin du lycée et ses obligations fut synonyme de liberté. J'aime ma petite famille sans soucis, sans risque, mais j'avais un vice pour l'inédit. Ainsi, je suis partie. Encore une fois. Pas pour te rejoindre toute suite Luce, désolée. Un baluchon et mes ambitions cosmiques sur ma bosse, tout juste de quoi rouler sur des sentiers inexplorés.
Mes pieds ont foulés les terres portugaises où des auberges acceptèrent ma trogne pour animer leurs réceptions sous les feux des néons moisis. J'y ai croisé une très jolie Beatriz, tu l'aurais vu Luce, toi aussi tu serais tombée sous son charme enivrant. Puis j'ai voulu voir plus grand, retrouver des racines ancrées sous un sol somalien. Des aïeux dont je ne connaissais que de quelques paroles dégotées des géniteurs et de papiers abîmés. La Somalie fut magnifique à mes yeux et le fait d'y devenir professeur d'anglais dans une petite école y fit chavirer mon dedans. Ce fut un crève-cœur de la quitter, mais la soif de voir d'autres horizons était bien trop forte. J'ai donc posé bagages en Inde. Un pays si vibrant de couleurs, de chaleur, que j'en vendais leurs valeurs par des tissus au marché. Je crois même que j'ai découvert une passion cachée pour le Bollywood. Puis j'ai voulu voir un côté tout aussi traditionnel que technologique avec la Corée du Sud. En étant animatrice dans un karaoké, j'en ai vu défiler des casseroles. Mais pas un jour, je n'ai pas ri, surtout avec Kim et ses histoires sordides. Luce, lui aussi aurait pu faire partie de notre petit équipe toquée à l'école. J'ai fais aussi la Nouvelle-Calédonie et ses plages ravageuses. A apprendre le français et les tresses de fleur de Tiaré. Des gens merveilleux avec un sourire qui vous illumine vos moments maussades. J'étais animatrice dans un village vacance, à donner quelques cours d'aquagym et à organiser quelques tours dans les forêts exotiques. Il y eut aussi le Chili, pour contempler un tout autre pays et continent. Le Chili et son intensité mordante. En étant serveuse, j'en ai aligné des tequilas et des empanadas. Surtout les deux en même temps, un vrai régale ! C'est pas pour autant que je sais mieux cuisiner ma très chère Luce. Et finalement, j'ai fini posé mes fesses à Cuba.
Cuba fut une révélation. Les pavés fanfaronnants et les vagues en cocktails. J'étais électrisée devant tant de vivacité et en même temps, tant de faisabilité. Surtout qu'il y eut Ernesto. Ernesto. Oh oui le cliché latino. Mais tu sais, les aprioris, je m'en contre-fiche. Beau comme un soir d'été ce Ernesto, de ses airs en fièvre qui vous cogne la tête. Je pensais avoir rencontré le bon, Luce. Moi qui avait accumulé les aventures aux amers desseins et qui riais de me propres conseils d'amour bateau. Ceux à propos des papillons dans le fin fond de l'estomac ou les proverbes vaseux "un de perdu, dix de retrouvés". Il avait le soleil sous la peau et les yeux ravis de rêves fauves. Avec des promesses sur les lèvres, des projets pleins la tête. On se ressemblait beaucoup, une même vision de la vie, trépidante et sans limites. A partager la fougue en baisers et à s'aimer sous la foudre.
On a fini par monter notre propre petit bar. Tout prêt de l'océan, vue panoramique garantie Luce. Tu aurais adoré. Surtout le moment où après les festivités consommées, on peut contempler la nuit poétique se consumer. Il gérait les papiers et moi le terrain. On avait nommé notre bijou brute, Tha Dawn. Tu sais, par rapport à mon amour incommensurable pour les levers de soleil et le fait qu'on comptait faire la fête jusqu'au petit matin. Et on en faisait des merveilles. Du monde à craquer, de la musique sur laquelle s'éclater, des breuvages édulcorés. Ernesto pour faire le baroudeur et moi sur les bars à conter des vers effervescents. C'était un beau duo Luce. On faisait des étincelles. Mais parfois ça nous explosait un peu à la gueule. Un peu trop même.
Comme tous couples, on s'engueulait. Au début pour des broutilles, des brindilles qui s’effilent dans les airs du temps. Mais, Ernesto cachait bien des choses. Derrière la perfection de ses traits, je sentais du faux. Mais j'abdiquais à ses sérénades, ses fabulations pour un futur fou quoique flou. Et puis un jour, on m'apprends l'inattendu. Un petit bout de nous qui poussait en mon sein. Oh Luce, j'étais si contente. Et pour la première fois de ma vie je crois, si effrayée. Moi ? Mère ? Vraiment ? Quelle mascarade de première. C'était si irréelle que je voulais pourtant y croire de toutes mes forces. Et Ernesto, je me souviens de quand je lui ai annoncé la nouvelle, il en pleurait de joie. Et nous avions à cet instant tout pour être heureux. Tout. Maintenant on voyait les choses pour trois. Le bar qui prenait plus d'ampleur, pourquoi pas une maison avec une chambre de plus....
Mais tu sais Luce, le rhum à outrance dans un coeur noirci, ça te mène à de rôle de transes. Il trempait dans des choses louches le Ernesto. Le nez dans la merde, les mains liées, les pieds titubants. A prendre goût au jeu, à perdre les pédales au sein d'échecs perpétuels. Et puis il s'était embarqué dans des vices avec d'autres bandits. Ceux tapis dans des coins d'ombre, ceux aux règnes carnassiers et aux points souriants. J'étais dépassée Luce. Je ne voulais pas le perdre, pas ainsi. Le voir chavirer dans des hantises insensées. Sauf qu'il me repoussait moi et mes assauts d'inquiétudes. J'ai toujours eu un soucis de diplomatie, tu le sais bien Luce. Mais c'était trop. La passion flanchait sur la violence offrant des bouchées à une gueule béante de notre idylle toxique.
J'en ai perdu le bébé. Luce. J'aurais pu même l'appeler comme toi. Mais je l'ai perdu. J'en ai tout perdu. Une essence vive qui s'est échappée par la même occasion. C'est comme un vide maintenant. Un creux que je tente de combler, mais il n'y a que le néant pour l'accroître. Et ça, ça a rendu fou Ernesto. A croire que je l'avais fait exprès, que c'était une sorte de vengeance complètement délurée, contre lui et ses excès. Luce, j'ai eu si peur ce soir-là. Tu sais, cette frayeur qui t'annihile les sens. Celle qui te rend impuissant alors que l'autre crache son venin et ses poings contre les murs près de toi. Celle qui te susurre dans le crâne que plus rien ne vaut la peine de se battre, car tout a déjà été pris et détruis. Et puis après, l'adrénaline qui fait courir. Qui te fait fuir accompagné des tambours cardiaque tout contre tes tempes et des souffles mouillés de frénésies.
Luce. Ça fait si mal. Et tu n'es plus là. J'ai voulu te retrouver. Avec ce bout de papier que tu m'avais donné à l'époque. Nos souvenirs sur ces quelques lignes toutes froissées. J'ai cru pouvoir, pour une fois, me confier. Mais sur le seuil de ta porte, il n'y avait pas tes traits doux. C'était pas toi. Et je me suis sentie trahie Luce, parce que je pensais compter sur toi. Sur toi et tes bras réconfortants, sur ton épaule reluisante de mes larmes. A la place je suis tombée sur l'inconnu. Sous les cieux grisonnant où mes râles se confondaient à la pluie de minuit. Et tu me connais, ça ne me fait pas peur. Un étranger dans ta maison avec sa chaleur en parfum. Sauf que je suis tombée dedans Luce, par ta faute. Parce que j'étais perdue et que t'étais pas là en repère. Mais c'était pas si dérangeant au final, car... Et puis de toute façon, je ne sais même pas si je vais t'envoyer cette lettre. De toute façon, je n'arrive même plus à retrouver ta nouvelle adresse. T'es où bordel Luce ? T'es où ? T'as disparu. Et moi je suis là. Comme une conne à devoir empiler des briques existentielles toute seule. Comme d'habitude depuis mon départ.
Alors à bientôt Luce. Peut-être encore fois dans la cyme de mes tourments ou dans une réalité décadente.
Ta Jeannie."
(prénom/pseudo) da(pays) la France sisi (ton avis sur le forum) canonnissime non ? (tu nous a trouvé où?) j'ai suivi la lumière (type de personnage) pré-lien (pas ouf ouf) de bens (le plus beau) :gabriel:
Dernière édition par Jean Forman le Jeu 27 Sep - 16:45, édité 25 fois |
| | | Bens Goldstein Portland Babes broken heart since : 24/08/2018 textos de rupture envoyés : 312 la gourmandise : 5 faceclaim : armie hammer / av@savannah; sign@astra
| Sujet: Re: sky full of songs Ven 21 Sep - 17:14 | |
| preums, y a quoi :gabriel: comment tu me fais un ascenseur émotionnel là genre mon pré lien est pas ouf ouf, mytho. mais ouais sinon je suis le plus beau bienvenue officiellement par contre c'est quoi ce binz ? j'attends depuis une heure et toi tu postes une fiche vide. a-bu-sé. t'es belle, dépêches toi. oui, j'ai hâte. |
| | | Savannah Coleman Portland Babes broken heart since : 25/08/2018 textos de rupture envoyés : 3047 la gourmandise : 180 faceclaim : gabriella wilde ©calypsie ♥
| Sujet: Re: sky full of songs Ven 21 Sep - 17:24 | |
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| Sujet: Re: sky full of songs Ven 21 Sep - 17:42 | |
| Bienvenue avec la belle Nathalie Bon courage pour ta fiche |
| | | Romy Fawkes Portland Babes broken heart since : 11/09/2018 textos de rupture envoyés : 77 la gourmandise : 0 faceclaim : eliza t-c. (balaclava).
| Sujet: Re: sky full of songs Ven 21 Sep - 17:46 | |
| diiiiiiiieu, qu'elle est jolie ! et j'aime tellement, tellement le prénom Jean pour une fille faut dire que je suis totalement influencée par le personnage de jean atwood dans le roman le chœur des femmes, qui est une merveille instants publicités sur les présentations, tranquille, ouais je suis comme ça, moi. sans gêne. bienvenue la belle, et merci de faire un heureux ! |
| | | William Beaufort Portland Babes broken heart since : 29/08/2018 textos de rupture envoyés : 413 la gourmandise : 15 faceclaim : brandon flynn made by Merenwen.
| | | | Wade O'Connor ROYALTY OF PORTLAND broken heart since : 21/09/2018 textos de rupture envoyés : 143 la gourmandise : 55 faceclaim : Jake Hold (kaotika)
| Sujet: Re: sky full of songs Ven 21 Sep - 20:48 | |
| Bienvenue chez nous. J'allais partir me coucher et... Puis j'ai stalké ta fiche. Ta plume est juste... Sublime ? Tu joue tellement bien avec les mots, c'est dingue. En tous cas, superbe choix de scénario, je viendrais certainement te quémander un petit lien avec l'un de mes trois zigotos. ok, j'ai eu un gros, gros coup de cœur sur ta plume. :gabriel: |
| | | Jean Forman Portland Babes broken heart since : 19/09/2018 textos de rupture envoyés : 77 la gourmandise : 0 faceclaim : nathalie emmanuel // killer from a gang // kane
| Sujet: Re: sky full of songs Sam 22 Sep - 6:56 | |
| @Savannah Coleman toi aussi t'es splendide, merci encore, t'es trop cute @Octavia Haynes merci beaucoup @Romy Fawkes Hiiii une autre fane des prénoms mixtes et depuis le temps que je voulais l'utiliser ce prénom, c'était l'occasion ! Par contre je ne connaissais pas le livre mais je vais m'y intéressée de plus près Sinon merci beaucoup et t'inquiète c'est ma passion de faire des heureux :gabriel: @William Beaufort merci bien @Sanae Altar Hannnnw mais c'est beaucoup mais beaucoup trop gentil ce que tu me dis là (j'aime stalker aussi au fait) En tout cas je ne dis pas non aux liens, je suis sure qu'on peut faire des étincelles @Bens Goldstein tavu ? jte garde pour la fin ? parcke c les meilleur pour la fin :gabriel: ça aussi c'est un de mes talents cachés de faire des ascenseurs émotionnels mais uesh laisses moi le temps de faire les choses bien, je veux pas te rendre un truc tout caca sachant que j'ai aussi hâte donc jme bouge la nouille pour te faire quelque chose digne de ce nom et de ton level |
| | | Bens Goldstein Portland Babes broken heart since : 24/08/2018 textos de rupture envoyés : 312 la gourmandise : 5 faceclaim : armie hammer / av@savannah; sign@astra
| Sujet: Re: sky full of songs Sam 22 Sep - 11:06 | |
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| | | Jean Forman Portland Babes broken heart since : 19/09/2018 textos de rupture envoyés : 77 la gourmandise : 0 faceclaim : nathalie emmanuel // killer from a gang // kane
| Sujet: Re: sky full of songs Sam 22 Sep - 11:43 | |
| @Bens Goldstein je te prépares ça après avec tes catégories, une intro et une conclusion, ça va être propre et dans le discours je veux une chanson j'y tiens on a toujours le temps azy chut je vais rougir, moi je dis on va être beaux together |
| | | Bens Goldstein Portland Babes broken heart since : 24/08/2018 textos de rupture envoyés : 312 la gourmandise : 5 faceclaim : armie hammer / av@savannah; sign@astra
| Sujet: Re: sky full of songs Sam 22 Sep - 11:47 | |
| @Jean Forman une thèse et une anti-thèse aussi, stp, merci. :gabriel: t'abuses. un poème ça passe ? non, mon horloge biologique n'est plus ce qu'elle était |
| | | Jean Forman Portland Babes broken heart since : 19/09/2018 textos de rupture envoyés : 77 la gourmandise : 0 faceclaim : nathalie emmanuel // killer from a gang // kane
| Sujet: Re: sky full of songs Sam 22 Sep - 12:37 | |
| @Bens Goldsteintu veux que je te fasses ça avant ou après ma fiche du coup ? :gabriel: alors si c'est un poème je veux des vers et des rimes en béton t'inquiète je vais finir par te la régler ton horloge |
| | | Bens Goldstein Portland Babes broken heart since : 24/08/2018 textos de rupture envoyés : 312 la gourmandise : 5 faceclaim : armie hammer / av@savannah; sign@astra
| Sujet: Re: sky full of songs Sam 22 Sep - 13:46 | |
| @Jean Forman après, oc. tu veux ma mort ou quoi ? :gabriel: avec des alexandrins et tout, tranquille, t'inquiètes. je vais faire le bg. ouh |
| | | Jean Forman Portland Babes broken heart since : 19/09/2018 textos de rupture envoyés : 77 la gourmandise : 0 faceclaim : nathalie emmanuel // killer from a gang // kane
| Sujet: Re: sky full of songs Sam 22 Sep - 17:06 | |
| @Bens Goldsteinben ché pô moa. comme t'aimes les surprises je voulais te faire plaisir :gabriel: au début j'ai lu des alexandries, j'ai cru que l'on allait partir sur du claude françois, je suis triste là tu sais pas ce qui t'attends |
| | | Bens Goldstein Portland Babes broken heart since : 24/08/2018 textos de rupture envoyés : 312 la gourmandise : 5 faceclaim : armie hammer / av@savannah; sign@astra
| Sujet: Re: sky full of songs Sam 22 Sep - 18:22 | |
| @Jean Forman les surprises c'est pour les faibles :gabriel: toujours plus, les femmes. fort intéressant t'as bien bossé femelle, je te tire mon chapeau comme je t'ai dit, j'adore, je suis fan, ta plume, tout, t'es parfaite j'adopte, j'achète |
| | | Jean Forman Portland Babes broken heart since : 19/09/2018 textos de rupture envoyés : 77 la gourmandise : 0 faceclaim : nathalie emmanuel // killer from a gang // kane
| Sujet: Re: sky full of songs Sam 22 Sep - 18:27 | |
| @Bens Goldsteinj'ai le droit à une image du coup ? znlnenf"nf"n""&i ça c'est ma joie qui ne sait pas comment s'exprimer :gabriel: (jte bz aussi du coup) |
| | | Bens Goldstein Portland Babes broken heart since : 24/08/2018 textos de rupture envoyés : 312 la gourmandise : 5 faceclaim : armie hammer / av@savannah; sign@astra
| Sujet: Re: sky full of songs Sam 22 Sep - 18:29 | |
| @Jean Formanabuse pas, c'est un bon point d'abord :gabriel: (on peut dire que j'ai pécho ça y est ? ) |
| | | Jean Forman Portland Babes broken heart since : 19/09/2018 textos de rupture envoyés : 77 la gourmandise : 0 faceclaim : nathalie emmanuel // killer from a gang // kane
| Sujet: Re: sky full of songs Sam 22 Sep - 18:33 | |
| @Bens Goldsteinoh merde tu soules moi je voulais une photo de girafe uesh :gabriel: (nan parce que c'est moi qui t'ai pécho d'abord ) |
| | | Bens Goldstein Portland Babes broken heart since : 24/08/2018 textos de rupture envoyés : 312 la gourmandise : 5 faceclaim : armie hammer / av@savannah; sign@astra
| Sujet: Re: sky full of songs Sam 22 Sep - 18:36 | |
| @Jean Forman j'aurais dit une vache vu le truc que t'as dans le nez :gabriel: (ouais tu sais pour les désespérés ça revient au même ) |
| | | Jean Forman Portland Babes broken heart since : 19/09/2018 textos de rupture envoyés : 77 la gourmandise : 0 faceclaim : nathalie emmanuel // killer from a gang // kane
| Sujet: Re: sky full of songs Sam 22 Sep - 18:40 | |
| @Bens Goldsteinla vache elle va te foutre de la bouse partout tu vas voir :gabriel: (nan c'est juste que je suis le sexe fort c'est tout, mais difficile de comprendre pour un soumis ) |
| | | Bens Goldstein Portland Babes broken heart since : 24/08/2018 textos de rupture envoyés : 312 la gourmandise : 5 faceclaim : armie hammer / av@savannah; sign@astra
| Sujet: Re: sky full of songs Sam 22 Sep - 18:42 | |
| @Jean Forman je ne répondrais point à cette avalanche de flood voilà :gabriel: :gabriel: (soumis ta mère) |
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| Sujet: Re: sky full of songs Dim 23 Sep - 7:32 | |
| MAIS CETTE BEAUTE, WAOUH. Bienvenue ! |
| | | Jean Forman Portland Babes broken heart since : 19/09/2018 textos de rupture envoyés : 77 la gourmandise : 0 faceclaim : nathalie emmanuel // killer from a gang // kane
| Sujet: Re: sky full of songs Dim 23 Sep - 9:49 | |
| @Bens Goldsteinqui ne dit rien consent :gabriel: (eh oh je vais te laver la bouche avec du savon moi) @Calypso Hepburn Merci chaton, sachant que toi aussi t'es belle avec la mystique katherine |
| | | Héliodore O'Toole Portland Babes broken heart since : 24/08/2018 textos de rupture envoyés : 426 la gourmandise : 90 faceclaim : Dominic Sherwood, by Carole71
| Sujet: Re: sky full of songs Dim 23 Sep - 12:53 | |
| Bienvenue ici avec ce joli choix de feat ! |
| | | Anthea Cohen Portland Babes broken heart since : 19/09/2018 textos de rupture envoyés : 86 la gourmandise : 45 faceclaim : joey king (carson)
| Sujet: Re: sky full of songs Dim 23 Sep - 19:21 | |
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| Sujet: Re: sky full of songs | |
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