| | underneath it all, we’re just savages – louka j. | |
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| Sujet: underneath it all, we’re just savages – louka j. Dim 30 Sep - 13:08 | |
| jönsson, louka ft. zayn malik ≈ crédit@bazzart
"don't you know i still believe ?"
(identification complète) Louka, un dérivé de « lux », la lumière, bien que tu n'en sois pas une. Tes parents ont été audacieux sur ce coup-là. Jönsson, tu le tiens nom de ton père, respecté pour travailler dans les bureaux d'une entreprise basée sur l'économie du côté de Pearl District de ce que tu peux en retenir. Du reste, sa femme, ta mère, celle qui gère une petite boutique aromathérapeute axée sur les croyances occultes en plein Portland ; tu trouves qu'elle est un peu barrée ta mère, mais tu l'apprécies beaucoup. (âge) T'en es qu'à tes 20 premières années d'existence, bien qu'on te rabâche sans cesse : “Wow, mais t'en fais plus !” suivi du “Ça, c'est la barbe.” Un discours habituel auquel tu as fini par programmer un faux sourire, niais, en guise de réponse. (lieu et date de naissance) Né à Eksjö, en Suède un 12 janvier 1998, sous un vent givré d'hiver. Un bled connu pour son église sur la Grande Place. T'as vécu au milieu du Vieux Quartier dans une maison chaleureuse, aromatisée aux encens purificateurs depuis que maman avait entendu parler de l'affaire de la reine Silvia de Suède cohabitant avec des amis fantômes dans son château... (statut civil) Officiellement Américain même si ta nationalité de Suédois est toujours valable. Il s'avère que vous avez emménagé à Portland quand papa s'est fait virer de son entreprise plantée à Stockholm après des injures échangées avec son patron. Une altercation qui l'a totalement dégoûté de l'Europe et qui lui a fait choisir les States comme nouveau chez vous. Au moins, avec son nombre d'études incalculable et ses capacités en langue, ce fut bien facile pour lui de retrouver un boulot digne de l'ancien. D'ailleurs, ta mère n'était pas contre ce changement brutal ; on se débarrassait des fantômes, et “les herbes de l'Oregon sont impressionnantes”. (emploi ou études) Au grand dam de ton père, t'as ramé à suivre son brillant parcours scolaire, et au bout du compte t'as tout abandonné à la fin du lycée. Juste avant la passation des diplômes. Aujourd'hui, tu planches dans la vente en prêt-à-porter dans une boutique Marc Jacobs installée dans le centre-ville de Portland. De l'extérieur, les vitrines étaient amènes et tu t'imaginais bien revêtu d'un très élégant costume pour conseiller les gens avec cet air hautain, altier, des vendeurs en luxe. Tu n'as eu qu'à sourire et montrer un minimum de galanterie pour qu'un CDI te soit proposé sur-le-champ. Oui, ton charme s'avère toujours très efficace. (orientation sexuelle) Un hétérosexuel sans ambiguïté aucune. T'aimerais bien qu'une de ces nombreuses jolies demoiselles sur Terre renverse une nouvelle fois ton petit cœur en coton. (statut financier) Grâce à ton père, les Jönsson ont une fortune durable. Ce n'est pas ton maternel et son lot d'herbes médicinales vendues le mois dernier qui remplissent l'assiette, c'est sûr. Bien que vous possédez les ressources financières derrière, tes parents vivent assez simplement ; petite maison en bois perdue dans les dunes de l'oubli, avec un chien, et ça leur convient très bien. Pendant que toi, tu te contentes d'un appartement bienséant dans l'hypercentre de Portland. (traits de caractères) Drôle. C'est évidemment ta plus grande qualité. Doté d'un humour sardonique et infantile, t’es du genre à faire des commentaires pas très malins que ce soit pour rire ou te moquer des autres en toute ironie. Une sorte d'honnêteté brutale qui tisse ta sociabilité et suscite l'amitié. Âpre. On te reproche ton côté «trop cool pour ce genre de choses», que tu es trop rugueux sur les bords et mauvais joueur. Agissant comme le mauvais garçon, le rebelle, le têtu à mauvaise tête, on pourrait te croire mal luné... ce qui est souvent le cas. Séducteur. T'es plutôt du genre à t'occuper de toi, ne jamais rater une douche, entretenir ton corps au nécessaire, car tu sais pertinemment que tu plais. Faire en sorte de convenir à la gente féminine. Et en suite gérer le reste avec les techniques ancestrales de l'homme. Abruti. Légèrement. Ça s'y prête quoi. T’es pas bête Loukas, t’es juste pas intelligent. Un air un peu naïf, candide, pas très malin. T’as du mal à suivre des conversations entières parfois, mais tu restes très gentil. Si vous partez sur des discours politiques et démagogiques, c'est que vous souhaitez sa mort. Casanier. T'apprécies sortir et rencontrer des gens, mais t'es franchement mieux chez toi. Dans ton petit cocon, tranquille à faire tes affaires avec personne sur le dos. Rester affaler sur le canapé des soirées entières, les stores baissés, les bouteilles de bière et boîtes de pizza étalés un peu partout dans ton appart. Jusqu'au moment où tu t'imagines avec ta copine ici, et que tu te mettes à flipper. (doppelganger) Zayn Malik (groupe choisi) Toy Boy
01 → Il est le suédois un peu paumé en Amérique qui a obligatoirement dû accepter un choix décidé par son colossal de père, sans contestation, et avec le sourire si possible. Il faut dire que rien ni personne n'a su se frayer un bout de chemin face à son père et c'est justement ce qui lui donne cette impression de supériorité, ce trop-plein de présomption qu'il vomit à la moindre occasion. Louka, ça l'agace. Lorsqu'il essaye, ne serait-ce qu'amener le sujet avec une délicatesse légendaire, il se fait remettre à sa place sans ménagement par son paternel. Au sujet de sa mère, cela fait bien longtemps qu'il a arrêté de comprendre comment celle-ci arrive à supporter un type comme lui, elle qui est si douce et si mielleuse à en devenir presque céleste. Sans doute doit-elle être trop absorbée par sa passion pour les composés aromatiques et secrets des forces invisibles de la nature qu'elle partage avec une de ces copines un peu dérangée, que Louka soupçonne de faire des trucs pas toujours très nets dans l'ombre. Des espèces de rituels dépassant l'occultisme de sa mère.
02 → Louka n'a jamais porté une quelconque attention aux études. Et son père voyait ce dévergondage d'un très mauvais œil, il s'énervait à longueur de journée de voir Louka le nez fourré partout sauf dans les livres et les manuels scolaires. Devant la famille, les collègues, de la gêne, presque de la honte que son fils est arrêté les cours à l'âge de 18 ans, autour d'eux tous les enfants de cet âge veillaient tard le soir avec la lumière allumée, le crayon en main et le cerveau programmé pour œuvrer dans leurs études. Il craignait qu'on ne prenne son propre fils pour un paresseux à l'éducation ratée et lui pour un père indigne. Comme une excuse : “On ne l'a jamais poussé, il n'était juste pas fait pour ça.” Souvent accompagné d'un sourire traduisant son immense confusion.
03 → Louka est un exemple parfait de sa génération, la génération Y ou la génération globale. Toujours glué à son smartphone pour les réseaux sociaux et présent pour poster une annonce solennelle à la Terre entière chaque fois qu'il lâche un peu ou mange un sandwich. Cependant, n'espérez pas qu'il réponde à vos textos longs et barbants, appelez-le, envoyez-lui des gifs sur Messenger, quinze messages à la suite sur WhatsApp ou votre dernière blague sur Snapchat. Celui-ci répondra avec équivalence, en bon champion de grimace qu'il se targue d'être, car Louka rigole pour un rien et un rien le fait rire, quelque peu ingénu, toujours prêt à découvrir de nouvelles choses et amuser la galerie. C’est une de ses plus grandes qualités. Il a aussi toujours une réplique sous le coude, répondre du tac au tac est devenu une seconde nature.
04 → Louka est bienveillant. C'est quelqu'un de naturel qui donnera beaucoup pour aider une personne en détresse, déjà tout petit, Louka était le genre d'enfant qui partageait son goûter, souriait aux inconnus dans la rue et que tous s'accordaient à trouver adorable. C’est juste dans sa nature, c'est ce qui le façonne. Le jeune Jönsson a souvent une cigarette à la bouche malgré les interdictions formelles de sa mère, le regard lointain, les pensées qui dérivent. Pas loin d'une image de bad boy. Il a toujours ce petit rictus insolent aux lèvres, un peu couillon sur les bords. Parfois il aime se lâcher, faire des conneries. Se sentir vivant tout simplement. Mais c’est aussi quelqu'un qui a peur de l'isolation, surement dû au fait qu’il soit un enfant unique. Il ressent le besoin d'aller vers les autres, de se faire des amis.
05 → Le grand squatteur quand il n'est pas dans chez lui. Louka a la fâcheuse habitude de retourner l'appartement de ses hôtes avec des soirées organisées en l'honneur de tout et rien, mégots sur l'évier, sur la table basse et même sous le matelas, bières en pack de six éparpillées un peu partout ; l'appart se transforme en un cendar. Comme la plupart des jeunes de son âge, il passe nombreuses de ses soirées à se dépouiller avec une bande de potes. Il adore profiter, vivre chaque moment comme si le prochain ne garantissait rien de bien, même si les lendemains s’avèrent toujours compliqués à assumer.
06 → Louka est loin d'être une personne responsable. Il aime coucher à gauche et à droite, trouver du réconfort dans les bras d'une autre. Il croit en l'amour, au coup de foudre, mais là ça tarde à arriver, donc il se conforte comme il peut. Ou alors est-ce peut-être parce que son cœur n'a pas fait le deuil d'une histoire passée ? Il n'arrive pas à faire suffisamment confiance à la gent féminine. Les femmes mariées à la recherche d'un jeune amant, il connaît. Et puis parfois, une fois l'action passée et l’extase accumulée il attrape une cigarette. Ces bouffées de goudron l'aideront à réfléchir. À se dire qu'il ne verra surement plus jamais l'inconnue qui se trouve dans son lit. Il remerciera le mec qui a inventé la capote. Puis, il attrapera ses affaires, et silencieusement s'en ira.
07 → Rien ne résume aussi bien l’esprit de la jeunesse de Louka que les vacances d’été. Le petit rituel d'août : la famille Jönsson pose ses valises dans une vaste propriété en Sardaigne, perdue au milieu des oliviers, des abricotiers et des criquets. Enfant, il passait ses journées à se baigner dans la rivière en contrebas de l’allée qui mène à la maison, à se cacher entre les vergers, à faire du vélo jusqu’à la mer. En grandissant, était venu l’âge des premières fois : premier bain de minuit dans la mer avec des inconnus, premier baiser échangé avec un ami du village “pour rire”, première fois avec une demoiselle italienne. C'était, comme sa mère disait en soufflant les “a” : “la dolce vita”.
08 → La raison pour laquelle il ne se projette pas dans l'avenir, c'est qu'il n'imagine rien de lui dans le futur. Il sait cuisiner un plat de pâtes, seuls les spaghettis, ce qui relève du défi pour lui déjà. Alors monter une famille, la protéger, rapporter un salaire tous les mois le rend nauséeux. Donc il se contente de vivre, et tant qu'il respire, tout va bien. Mais parfois, entouré seulement d'un cendrier entassant les mégots qu'il consume, il s'invente un peu son havre de paix avec le futur glorieux qu'il pourrait avoir s'il était mature et déterminé; mais il réalise que ce n'est que la surface d'un rêve, seul, baignant uniquement dans la lueur d'un astre de demi-lune, avec un briquet en main.
≈ Insert your quote here!
Louka Jönsson, un nouveau-né parmi tant d'autres, dans ce vaste pays qu'est la Suède, lieu populaire auprès des amoureux de la nature, notamment grâce à la douce lumière qui filtre entre les frondaisons. L'endroit où sont entassés des centaines et centaines d'arbres et de lacs à la ronde. Un pays qui a une longue tradition de préservation de la nature. C'est en partie pour cela que malgré son côté aquoiboniste, le réchauffement naturel et le développement durable entre autres, sont des mœurs inculquées que Louka respectera pour toujours. Avec le travail oppressant de papa dans l'économie et les folies aromatiques de maman, assumer un enfant s'est avéré parfois difficultueux. Marqué par des moments agités, ceux qui ont repoussé l'idée du deuxième enfant loin, trop loin pour pouvoir y songer à nouveau. Louka est de ces gosses à l'enfance banalement heureuse, sans manque et sans surplus. Un dosage équilibré de deux parents qui ont su façonner leur enfant comme ils s'étaient imaginé durant les nombreuses échographies, rythmées par la joie et l'euphorie du premier accouchement. Et pourtant, Louka a su décevoir à maintes reprises ses paternels, et particulièrement son père, un bulldozer buté sur ces idées et rien d'autre, qui s'affiche depuis toujours comme le suprême, le dédaigneux, autant à la maison familiale qu'au travail. Le lycée a sûrement été la période la plus sombre de Louka vis-à-vis du père Jönsson. La fainéantise. La paresse en classe, quand son fils se décidait à s'y rendre. Au moins physiquement, car ses pensées dérivaient bien ailleurs, aucunement intéressé par les – très passionnants – cours des professeurs. Sans oublier les terribles vices auxquels sa mère a pourtant tout fait pour éviter qu'il y prenne goût : la cigarette, l'alcool, le sexe. Louka n'aurait pas supporté une absence de vie à la fleur de l'âge, et sans doute ses parents l'ont bien décodé, notamment lorsque leur fils rentrait ivre mort à la maison suédoise, en compagnie de charmantes demoiselles, la mâchoire à moitié cassée et le regard foudroyé par les excès de la soirée. Et puis, Louka a eu 17 ans. Cet âge où l'on est censé choisir son futur, où tout semble se décider. Le jeune homme n'avait qu'à faire du lycée et pourtant, sa présence en cours devenait drôlement régulière. Un cours, par-dessus tout, l'intéressait plus que tout : la classe de philosophie de Mme. Larsson. Il buvait les paroles de l'enseignante, ne manquant absolument rien des six heures hebdomadaires que son emploi du temps demander de suivre. Et puis cette fascination pour le cours s'était mué en une fascination pour la professeur. Elle avait la trentaine passée, certainement un mari et des enfants, peut-être un chien, une vie absolument rangée. D’ailleurs Louka n'avait jamais envisagé qu'une professeur pourrait lui plaire, même pas elle. Mais une complicité semblait naître entre le professeur et l'élève, des blagues durant le cours, des regards, des sourires, une alchimie. Ses amis le taquinaient souvent, sans imaginer pourtant qu'il y avait bien une attraction inexplicable entre l’enseignante et le jeune homme. Louka ne se l'avouait jamais à lui-même, n'en avait parlé à personne et pourtant une étrange curiosité le poussa à vérifier si elle était bien mariée et elle l'était. Mais progressivement, leur relation avait évolué vers une complicité sans doute pas passée inaperçue auprès des autres professeurs. Et puis, après un cours, alors que Mme. Larsson l'aidait dans la correction d’un devoir, il l'avait embrassé. Cette petite idylle resta secrète et ne dura pas : qui sait ? s’ils étaient découverts, elle risquait la prison, et puis elle était mariée… Ils s'étaient séparés en mai et Mme. Larsson était rentrée en Angleterre dès la fin de l'année pour enseigner vers d'autres horizons. Du côté de Louka, était venu le jour du déménagement aux États-Unis, dans l'Oregon à Portland, où existe un pont magnifique qui s'allonge au-dessus de la Willamette River, après que le paternel n'est suffisamment exprimé son dégoût pour son patron, et l'Europe en général, sans demi-mesure jamais. Au même moment où Louka a totalement lâché le lycée, et les études. Ce même moment où il a pris son envol dans le monde du travail, sans aucun diplôme et aucun soutien de son père, car bien trop courroucé par son fils et ses choix dévergondés. Quel métier un Suédois seul et paumé en Amérique du Nord peut-il bien exercer ? Il ne pouvait compter que sur lui, et spécifiquement sur son charme, avec lequel il a réussi à décrocher un job dans une boutique Marc Jacobs avec brio. Son accent venu d'ailleurs, d'un pays ignoré, presque inédit dans l'Oregon, a fait toute la différence. Il se dit que, peut-être ses origines européennes, d'un pays à l'environnement sain – bien plus que lui – sont la clef mystère à la serrure des cœurs des demoiselles américaines. Peut-être que malgré son inintelligence occasionnelle mais abrutissante et ses futilités, l'amour croisera un de ces quatre le pallier de sa porte qui, autant le ressasser, est grandement ouverte. Prête à vivre un périple amoureux, aussi intense qu'il soit.
(prénom/pseudo) vyctorien / call me hugo (pays) France (ton avis sur le forum) Je recherchais un forum pas trop grand, plutôt simple et à la fois joli et celui-ci correspondait à mes recherches. Les membres ont l'air adorables aussi, ça marque des points (tu nous a trouvé où?) sur bazzart (type de personnage) inventé
Dernière édition par Louka Jönsson le Mar 2 Oct - 16:22, édité 8 fois |
| | | William Beaufort Portland Babes broken heart since : 29/08/2018 textos de rupture envoyés : 413 la gourmandise : 15 faceclaim : brandon flynn made by Merenwen.
| Sujet: Re: underneath it all, we’re just savages – louka j. Dim 30 Sep - 13:18 | |
| Bienvenue parmi nous. Y en a qui vont être jalouses que je poste en premier, mais osef. J'vois que t'as déjà bien avancé ta fiche, courage pour la suite, j'aime déjà ce que j'ai lu, puis le pseudo et l'avatar, me gusta. |
| | | Savannah Coleman Portland Babes broken heart since : 25/08/2018 textos de rupture envoyés : 3047 la gourmandise : 180 faceclaim : gabriella wilde ©calypsie ♥
| Sujet: Re: underneath it all, we’re just savages – louka j. Dim 30 Sep - 13:18 | |
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| | | Wade O'Connor ROYALTY OF PORTLAND broken heart since : 21/09/2018 textos de rupture envoyés : 143 la gourmandise : 55 faceclaim : Jake Hold (kaotika)
| Sujet: Re: underneath it all, we’re just savages – louka j. Dim 30 Sep - 13:30 | |
| * Pousse tout le monde* Laissez passer l'bulldozer, please. J'arrive avec mon gros camion pour t'accueillir. Bienvenue, tes magnifik bôtée caramel. J'aime beaucoup ce que je lis, j'te surveille en attendant que tu termine ta fiche. J'viendrais sûrement te chopper un lien |
| | | Timeo Kostas Portland Babes broken heart since : 04/09/2018 textos de rupture envoyés : 149 la gourmandise : 0 faceclaim : tchalamet, cosmic light (ava), estelle bb (gif signa)
| | | | Cléo Amstrong ROYALTY OF PORTLAND broken heart since : 11/09/2018 textos de rupture envoyés : 227 la gourmandise : 15 faceclaim : milo (lempika) (signa/ solosands)
| Sujet: Re: underneath it all, we’re just savages – louka j. Dim 30 Sep - 13:49 | |
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| Sujet: Re: underneath it all, we’re just savages – louka j. Dim 30 Sep - 14:15 | |
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| | | Lee Saejin Portland Babes broken heart since : 30/09/2018 textos de rupture envoyés : 18 la gourmandise : 0 faceclaim : lee sung kyung (solsken;bazzart)
| | | | Jimmy King Portland Babes broken heart since : 19/09/2018 textos de rupture envoyés : 161 la gourmandise : 90 faceclaim : antoine olivier pilon (avatar hoodwink, signature, crack in time).
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| Sujet: Re: underneath it all, we’re just savages – louka j. Dim 30 Sep - 16:33 | |
| bienvenue dans le coin |
| | | Agustín Pembroke Portland Babes broken heart since : 26/09/2018 textos de rupture envoyés : 34 la gourmandise : 0 faceclaim : Dacre Montgomery (c) Hoodwink
| Sujet: Re: underneath it all, we’re just savages – louka j. Dim 30 Sep - 23:13 | |
| Parle moi d'une belle gueule et d'une écriture à tout casser. Damn boi. Bienvenue et en espérant que tu t'éclateras ici |
| | | Héliodore O'Toole Portland Babes broken heart since : 24/08/2018 textos de rupture envoyés : 426 la gourmandise : 90 faceclaim : Dominic Sherwood, by Carole71
| Sujet: Re: underneath it all, we’re just savages – louka j. Lun 1 Oct - 6:34 | |
| Bienvenue ici et bon courage pour ta fiche ! |
| | | Bens Goldstein Portland Babes broken heart since : 24/08/2018 textos de rupture envoyés : 312 la gourmandise : 5 faceclaim : armie hammer / av@savannah; sign@astra
| Sujet: Re: underneath it all, we’re just savages – louka j. Lun 1 Oct - 12:26 | |
| cette fiche, je manque d'air tellement c'est beau puis zayn laissez moi mourir en paix bordel bienvenue et bon courage pour la fin de ta fiche j'ai bien hâte de lire la suite |
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| Sujet: Re: underneath it all, we’re just savages – louka j. Lun 1 Oct - 13:51 | |
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| | | Andrea Phelps Portland Babes broken heart since : 27/08/2018 textos de rupture envoyés : 1170 la gourmandise : 0 faceclaim : Scott Eastwood
| Sujet: Re: underneath it all, we’re just savages – louka j. Mar 2 Oct - 14:26 | |
| Bienvenue par ici Pretty boy ! |
| | | Luis Goldstein ROYALTY OF PORTLAND broken heart since : 01/10/2018 textos de rupture envoyés : 32 la gourmandise : 0 faceclaim : tarjei. (anesidora)
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| Sujet: Re: underneath it all, we’re just savages – louka j. | |
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