ctrl z to go back (noam)

Invité

noam clarence davenport
ft. t. grant gustin ≈ crédit@bazzart.

i wanna put ten shots in my brain

(identification complète) davenport. ce nom qu'il exècre, ce nom qui l'entrave de toute liberté. ce nom qu'il maudit aussi, pour porter le même que son géniteur, et qui le pousse à sortir de sa zone de confort, à prendre son indépendance, à anéantir sa jeunesse infantile et à l'enterrer six pieds sous-terre. noam ; douceur, sucré, douceur sucré, en arabe plaisir — luxe, calme et volupté, ce patronyme que sa mère lui a offert comme l'ultime présent pour l'accompagner tout le long de son existence — ce nom qui suinte l'innocence, mais surtout son envie de liberté. (âge) vingt-deux ans de batailles, de lutte contre soi-même et contre les autres, sept mille ans à se bagarrer avec le monde et à se chamailler avec le firmament dont au moins mille passé à fumer. en somme, il reste un morveux aux yeux de cette société dépavrée. " ô temps, ô mœurs ". (lieu et date de naissance) gueule pour la première fois à boulder, chiale au colorado, un certain quatorze août 1996, où il a pu crécher de sa naissance jusqu'à la fin de son adolescence. les premiers à l'accueillir étaient sûrement l'orage nocturne, le tonnerre et les éclairs zébrant le paysage et découpant les cieux — il était déjà victime de l'engeance de l'été, et de celui de ses parents. sa catin de mère aurait préféré avorter si elle avait su combien d'emmerdes ce sale gosse allait apporter sur son passage. (statut civil) américain depuis au moins trois générations, issu à l'origine d'une migration d'une famille de colons français venus aux états-unis dès le début de la ruée vers l'or, noam s'est toujours gardé d'évoquer ses racines. il aurait pu dire qu'il était simplement ricain, mais ce n'est pas le genre de discours qu'il a l'habitude de tenir. noam, c'est l'extravagance, l'exotisme, alors il ne préfère ne pas briser le mythe en racontant aux autres qu'il est " juste d'ici ". pour se faire il parle de son déménagement de boulder à portland. boulder, comme dans shining ? la maison de jack torrance ? son père n'a pas choisi d'habiter ici par hasard, et de toute manière sa mère s'en fichait royalement, tant qu'elle pouvait se bousiller les poumons en paix. (emploi ou études) la scolarité de noam s'est révélée difficile dès son entrée en primaire, faute d'être particulièrement distrait pendant ses premiers. enfant terrible, casse-cou, inattentif et un boulet pour toute sa classe qui ne cessait de le juger. il n'en était pas moins persévérant et avait même réussi à intégrer une prestigieuse école dans l'espoir de devenir un psychologue réputé à l'instar de paul weston dans in treatment. un long et perpétueux chemin qui s'est finalement soldé par un abandon inutile, ayant décidé pendant le trajet de tout quitter, sa ville natale, ses amis, sa famille et ses études, pour suivre la femme de sa vie à portland. relation qui se concrétisera par un lamentable échec. son unique bouée de sauvetage, c'était le salaire minable que la brasserie située juste en dessous de son appartement t'offrait en échange de tes services de l'autre côté du comptoir. au final, son existence entière était un chemin séparé par deux voies différentes ; celle où l'attend et celle qu'il empruntera pour sûr. même s'il est barman aujourd'hui, qui sait si demain il revêtera un tout autre costume. (orientation sexuelle) ses préférences ont longtemps été inconnues, ses parents croyant d'abord avoir affaire avec un enfant homosexuel, puis on l'a considéré comme étant asexuel, comme si son attirance sexuelle devait se renouveler tout les mois, à la manière d'un abonnement netflix. c'était simple au début pourtant — il n'aimait personne. absolument personne, et il était impossible de le faire changer d'avis sur ce sujet. rien ne l'intéressait, et nul n'était capable de briser cette carapace en bois qui lui servait de bouclier anti-maux, jusqu'à elle. son premier amour et probablement le seul. depuis cette fille, aucun autre être humain n'a réussi à faire jaser son cœur, mais il n'y a que les femmes pour lui, il n'y a que les femmes dans son champ de vision. la source la plus ordinaire des voluptés les plus naturelles. (statut financier) $$$$. il n'a pas eu la chance de naître avec une cuillère en argent dans la bouche et les maigres profits que la maison close de sa mère et l'accumulation des dettes dues dépenses de son beau-père prodigue abrahamn'ont jamais réussi à arranger les choses, si ce n'est que de créer encore plus de pétages de plombs et de crises de nerf du côté de l'unique fils de la famille davenport. il est parti de la maison familiale suite un énième dérapage, après avoir volé les cinq cent dollars économies mis de côté pour la soirée poker de braham sans vraiment savoir où il va aller. et maintenant, il est fauché. (doppelganger) grant gustin. (groupe choisi) remember me.

the psy

personnalité horrible au passé trouble, particulièrement acerbe. déteste autant qu'il est détesté, noam est un garçon rongé par ses sombres démons, démons qui l'assaillent chaque nuit, et par cette culpabilité, celle d'avoir perdu un être cher et de n'avoir rien fait pour le retrouver. consumé par la plus noire des colères, contrôlé par la rage, la froideur et cette profonde haine qu'il éprouve envers l'amour. ah, l'amour. ce sentiment de bonheur, de bien-être, cette allégresse qui pourtant l'a détruit, qui lui a broyé les os comme la sclérose en plaque, qui lui a brisé le cœur à l'image de tako-tsubo. il aurait pu être heureux, c'est vrai ; il était autrefois un jeune homme empressé et attentionné, aussi gentil qu'adorable. ponctuel, souriant, joyeux en apparence jusqu'à la séparation de ses parents. il n'était pas encore totalement anéanti, simplement bouleversé par ce changement de vie, mais qu'importait finalement la vie sentimentale de sa mère — il y a un tas de chose plus intéressantes à faire quand on a sept ans. il adorait raconter des blagues, par exemple. déjà au collège on le remarquait pour son adresse avec les jeux de mots bien placés et son humour infantile. il n'était pas le plus intéressant, ni même le plus érudit, mais au moins il était drôle. du moins, il le pensait. il pensait aussi qu'il était le meilleur. il se croyait invincible, que rien ne pouvait lui arriver. il a vu sa mère chuter, poussée par son nouveau mari qu'il méprisait par-dessus tout. il ne comprenait pas son choix. il lui disait qu'il était arrogant, qu'il n'était qu'un mioche à ses yeux et que s'il le voulait, il dégagerait de sa baraque. et c'était vrai. noam était un bouffon, il était le dindon de la farce, et le pire, c'est qu'il se croyait intouchable, au point de développer un culte envers sa propre personne tellement son égocentrisme atteignait des sommets. il ne supportait plus la vue de cet ignare dans son appartement. il sortait. régulièrement. en boîte, dehors, profitant d'une centaine de soirée tant que ce qu'il restait de son innocence était encore vivant. il l'a rencontré. elle. il est devenu quelqu'un de bon. le gendre idéal, l'homme parfait. certain d'être correct. il l'était. serviable, complaisant, brave, charitable. et puis il y a eu l'événement x. bordel de merde, il aurait préféré le supprimer de sa vie, appuyer sur les touches ctrl z du clavier de son existence.
car si noam est devenu aussi désagréable, c'est en parti à cause de ce qu'il s'est passé. cet ultime rebondissement avait vu son esprit déjà torturée se fêler à jamais. c'était la culpabilité qui l'habitait désormais. refoulant sa colère en lui cherchant un exutoire, il avait fait du mal son combat et de l'acrimonie son arme, le sarcasme son bouclier et son dédain sa force, cherchant dans cet affrontement à sauver son âme endolorie, trouver son salut. le jour où il deviendrait spécial aux yeux de quelqu'un n'est plus important du tout pour lui. il n'est plus question de sauver qui que ce soit, mais de se sauver soi-même. son cœur était devenu si noir, si perverti, qu'il s'était découvert une aversion extrême pour l'amour. haine qu'il convertit dans ses écrits, dans sa catharsis, dans les esquisses rouges et sombres sur les pages vierges de son manuscrit personnel. ce sont les mauvais jours qui le poussent à être le grossier personnage qu'il est devenu, et à la fin ce sera son courroux qui l'emportera dans la tombe. il aimerait passer à autre chose. c'était la dernière chose qu'il avait souhaité aux dieux après les avoir maudits. les cigarettes ne suffisaient plus à calmer ses douleurs, panser ses plaies et soulager ses blessures les plus profondes. malgré les années passées, les cicatrices mentales le torturaient psychologiquement. il n'avait jamais réussi à se passer de tous les antalgiques et autres dérivés morphiniques, et la délivrance que lui apportait le tabac était bien plus salvatrice. ce gamin, aussi exécrable qu'il soit, ne méritait pas ça. tout, mais pas ça. alors il reste, seul, dans son misérable appartement à portland, en attendant que son heure vienne. il ne veut plus sortir de toute manière, par peur de rencontrer de nouvelles personnes, et par peur surtout de les voir, eux aussi, partir à jamais. sa seule et unique compagnie restera à tout jamais sa peluche pingouin, son sweat trop grand, ce vieux jogging qui porte l'odeur de la bière et ce pot de glace à la fraise, unique satisfaction à sa vie de merde.

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Code:: xxxtentacion — jocelyn flores
lil peep — save that shit
queen — bohamian rhapsody
the beatles — drive my car
xxxtentacion — tightrope
red hot chili peppers — otherside
post malone ft. 21 savage — rockstar
nirvana — smells like a teen spirit
queen — we will rock you
michael jackson — smooth criminal
donna summer — i feel love
watsky — whoa whoa whoa
imagines dragons — radioactive

others things

(un) bloqué, dans tous les sens du terme. les années quatre vingt et quatre vingt dix ont marqués son esprit, pour la simple et bonne raison qu'il n'était pas né à ce moment de l'histoire. c'était pourtant si bon, avant le deuxième millénaire. les jukebox, les disques, les vieilles cassettes VHS, les walk-man, les bars branchés et les néons typiques des discothèques locaux. il y avait aussi des films, beaucoup de films bien moins ringards que les actuelles comédies américaines qui nous font regretter les classiques du cinéma tel que shining, le silence des agneaux ou même the truman show — le sept samouraï, karate kid et les tout premiers james bond. en soixante dix, il n'y avait pas ce problème de wi-fi. c'était un des points positifs qu'il trouvait à cette décennie fabuleuse. aujourd'hui, il a honte de sortir en comparant la nouvelle à la vieille époque, si ce n'est que pour skater le soir très tard pour prendre l'air après avoir fini une journée épuisante au coffee-shop de portland, avant de rentrer chez lui et de se re-mater le sixième épisode de star wars en intégral. (deux) son incommensurable haine des animaux. voilà une autre caractéristique qui lui allait plutôt bien, ou plutôt ce mal-être qu'il ressent face à une de ces sales bêtes qu'il a plus envie de shooter avec son pied que de caresser. même un chien ? surtout les chiens. il déteste les clebs et est persuadé qu'ils le détestent aussi, c'est à voir leur regard noir et perçant qu'ils lui lancent quand il fait face à quelqu'un promenant sa bête au parc. satané clebs. pire encore que ses envies meurtrières avec les animaux — son mépris envers les jeunes enfants et les bébés. tout ce qu'il aimerait, ce serait de frapper avec une batte de baseball tout les nourrissons de la ville. il est conscient qu'il risque d'aller en prison en pensant ce genre de choses, mais ça lui fait en revanche beaucoup de bien d'évacuer toute sa pression sur un ou deux boucs émissaires qui ne risqueraient pas de se venger s'il leur tire une bonne bastos de vingt deux entre les deux yeux. (trois) tout n'a pas changé après l'événement x, sa colère remonte à bien plus loin, mais il avait toujours réussi à contrôler ses émotions avec plus ou moins de réussite, grâce à de nombreux passe-temps qui l'occupaient pendant ses week-ends. notables sa fibre artistique et les nombreuses toiles pour la plupart vierges ou ratées entreposées dans sa pseudo-cave au sous-sol commun de l'immeuble dans lequel il habitait et son amour pour la littérature française et les récits imaginaires et incroyablement réalistes de charles baudelaire qui, malgré la violence de certains de ses textes, lui a fait retrouvé la paix. c'est d'ailleurs grâce à l'art qu'il l'a rencontré, ou plutôt à cause de l'art. il ne sait pas trop comment se placer, mais il a malgré tout préféré tout arrêter, par manque de temps et d'envie, mais surtout par manque d'envie. (quatre) et puis il y a la drogue. la chicha. l'invitation au voyage. yeux clos, allongé sur son canapé à moitié bourré, plus de '' taffes '' chez lui que dans son métier, il se retire doucement du monde. la chaleur l'envahit si soudainement qu'il se surprend à chaque fois de la douceur destructrice qui lui fait tant de bien pourtant. et il y a ses curieux rapports avec l'alcool. et la bière, une panoplie de canettes de bière, une montagne de canettes de bière, un torrent de canettes de bière. toujours les canettes. « ça te bouffera cette merde. » le temps finira par tous nous tuer. (cinq) pour lui, le monde n'est ni noir ni blanc. il est en rouge et noir. les deux finalement. il avait cette façon si pessimiste de voir les choses, mais ça lui était complètement égal.

≈ Insert your quote here!
Petite partie concernant l'histoire de votre personnage, c'est à dire le plus important de cette fiche de présentation. Vous pouvez écrire un simple texte ou faire des anecdotes, comme vous le souhaitez. Cependant, on demande un minimum de 30 lignes. Ce qui ne sera pas vraiment difficile à faire vu la taille du cadre, mais respectez au moins cette partie.

(prénom/pseudo) appelez moi fabrice douceur héhé ou dylan tout simplement. (pays) la fronce libre et juste la fronce. (ton avis sur le forum) j'adore le style et le graphisme et puis le contexte est simple et intéressant à la fois, fin bref je vais pas faire une dissert' pour décrire tout ce que j'aime sur ce forum (mais j'en serai capable attention) (tu nous a trouvé où?) on m'a kidnappé pour que je vienne ici... (type de personnage) inventé, et précédemment expérimenté, puis modifié (pour être probablement ré-expérimenté).

bienvenue. ctrl z to go back (noam) 2850219100

au plaisir d'en apprendre plus.

Bienvenue à toi !

OH bébé Gustin ctrl z to go back (noam) 911240563

BIENVENUE PAR ICI MON MIGNON !! ctrl z to go back (noam) 2850219100

Bon courage dans la rédaction de ta fichette ctrl z to go back (noam) 1641244580

Invité

grant le magnifique ctrl z to go back (noam) 911240563

Bienvenue par ici ctrl z to go back (noam) 1530815888

Invité

merci tout l'monde ctrl z to go back (noam) 911240563

Ce début de fiche, mama !!! ctrl z to go back (noam) 1530815888

Cette plume, fiouuu ctrl z to go back (noam) 3672205607

Bienvenue parmi nous bg et bon courage pour la suite de ta fichette I love you

Bienvenueeeeeeeee dans notre grande famille petit chat ctrl z to go back (noam) 1888532012

Tu es beaucoup trop beau ctrl z to go back (noam) 3672205607

Plein de courage pour faire ta petite fiche I love you

Invité

merci

cette plume, mon dieu ctrl z to go back (noam) 3672205607

puis ce personnage qui se dessine. ctrl z to go back (noam) 549671019

j'adore; hâte d'en lire plus - surtout sur cet événement x. ctrl z to go back (noam) 3625086695

bienvenue et bon courage ctrl z to go back (noam) 3065377166

j'me demande qui a été ton kidnappeur ...
bien-ve-nue flash ctrl z to go back (noam) 1388063665

Invité

mercé @Bens Goldstein ctrl z to go back (noam) 1566949112

@Lee Saejin fais gaffe ctrl z to go back (noam) 1695860241

mais mrci quand meme .

bienvenue et bonne chance pour ta fiche I love you

j'adore le choix et j'adore aussi le personnage qui se profile ctrl z to go back (noam) 3672205607

ce choix
bienvenue
si tu as la moindre question, n'hésites pas.

J’adore!

Bienvenue parmi nous ctrl z to go back (noam) 2850219100

bienvenue à la maison ! ctrl z to go back (noam) 2850219100

jolie plume. ctrl z to go back (noam) 3672205607

Invité

vous êtes trop adorables omg jvous aime ctrl z to go back (noam) 3672205607

Waou

Bienvenue ici I love you

J'aime le début de ta fiche ctrl z to go back (noam) 2850219100

Bon courage pour la suite et si tu as des questions, n'hésites pas ctrl z to go back (noam) 3117111047

c'que c'est beau
bienvenue à la maison

Malheur, je suis en retard ! D:
Ce début de fiche qui envoie déjà du lourd jpp ctrl z to go back (noam) 1032227432

J'aime beaucoup ce que tu nous offres là, rien qu'avec la manière de l'expliquer, de le dire on sent que Noam est brisé, torturé par des choses de son passé. Et ça le rend acerbe, il déborde de colère, c'est sa manière de vivre la chose, j'adore ctrl z to go back (noam) 3231186741

Je te souhaite plein de courage pour la toute fin de ta fiche, c'est la dernière ligne droite, tu peux le faire I love you

& BIENVENUE parmi nous

Bienvenue parmi nous, personnage très prometteur, courage pour ton restant de fiche ! ctrl z to go back (noam) 2850219100

Invité

merci tout le monde ctrl z to go back (noam) 1888532012

vous êtes trop adorables jpp

Brrr... Je suis en retard ! Mais bienvenue parmi nous !

Bonjour, ça fait plus d'une semaine que tu as commencé la fiche.
Je vais la déplacer pour le moment à moins que tu veuilles un délais ?

@Noam Davenport