#040 west end ❊ premier jour de notre nouvelle vie {-18}

phrodite, Kaleb et Loïc arrivaient à peine de leur moment de retrouvailles au parc. La jeune femme était la plus heureuse, elle était enfin entourée des deux hommes de sa vie. Elle ouvrit la porte et laissa passer Kaleb qui avait le petit dans les bras. Une fois qu’elle fut une fois rentrée dans leur maison, elle mit les cadeaux dans les différentes chambres et plia la poussette. Elle alla directement dans la cuisine pour préparer le repas du soir et faire un gâteau pour le goûter
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Elle se mit à chantonner la berceuse, elle avait laissé Kaleb mettre le petit dans sa chambre. Aphrodite avait gardé l’habitude de mettre le babyphone pour surveiller le petit la nuit. Elle ne dormait pas beaucoup la nuit quand son homme n’était pas là. Elle était tellement contente de recommencer une vie de famille. Elle savait que les absences de Kaleb n’en seraient pas vraiment. Comme ils allaient travailler ensemble. Elle verrait son homme tous les jours, elle était la plus heureuse des femmes.

Elle finit par mettre le gâteau au four, puis elle partit dans leur chambre pour se changer. Elle enfila une ancienne chemise à Kaleb . Elle était en train de se changer, quand elle entendit son téléphone portable qui indiquait « Dix appels manqués de papa ». Elle se mit à soupirer en rappelant son père et tomba sur son répondeur et lui dit : « Oui papa c’est Aphrodite, j’étais au parc avec le petit. il est en de faire sa sieste. Donc pas la peine de venir, je vais aussi me reposer. ». Elle raccrocha et espère que son amoureux allait la rejoindre.

e sais très bien que je devrais m’adapter de nouveau à cette vie, j’ai quand même passé un an sans eux, seul et quelque fois avec ma femme. J’ai souvent songé au suicide, alors que j’y avais tenté une fois, mais j’avais été sauver à temps. Mais souvent oui, j’y songe encore. Je portais mon fils jusque dans son lit, faisant attention de ne pas le réveiller en cours de route. Je prends le babyphone et je quitte la chambre du petit en ne fermant pas complètement la porte. Je fais le tour des pièces pour me mémoriser cette maison. Elle aurait aussi bien pu déménager après mon départ, mais non elle ne l’avait pas fait, et je l’en remercie. Des souvenirs me revenaient en tête. Quel con j’ai fait en la laissant comme ça, à cause de ma femme qui a essayé de m’éloigner pour de bon de ma petite famille, mais surtout de mon fils. Je finis par notre chambre, le dessert des pièces de la maison. Je me pose dans le cadre de porte, elle raccrochait son portable, dos à moi. Elle était si belle. Mon amour… Je m’avance dans la chambre et vient la tourner face è moi et l’embrasser avec tendresse et amour. Je pose ensuite mon front contre le sien. Loïc dort toujours, tu as envie qu’on fasse quoi? Je souris en coin, lui retirant une mèche de cheveux de son visage et j’embrasse le bout de son nez.

phrodite était en train de se changer, elle avait une des vieilles chemises à Kaleb sur le dos. Elle avait gardé toutes ses affaires. Elle se retourna. On pouvait apercevoir des dessous noirs en dentelle qu'elle s'était achetée la veille. Elle sentit les mains de son homme sur ses hanches nues, elle se mit à frissonner et prolongea ce baiser tendre et charnel à la fois.  Elle avait attendu cet instant depuis tellement longtemps. Kaleb lui avait dit que le petit était toujours en train de dormir, elle lui : « Il s'est réveillé de bonne heure comme tous les jours … Je suis tellement heureuse qu'on soit ensemble et surtout dans cette pièce qui a beaucoup de moments de vie commune… Et ceux qui vont venir les compléter… »

Elle se mit à frissonner et à froncer du nez quand il lui embrassa le bout de son nez. Elle se mit aussi à sourire en coin et lui dit :  « On peut commencer par ça si tu veux bien… ». Elle enleva le haut de Kaleb et embrassa son torse et sa nuque.

l y avait longtemps que je n’avais pas ressenti cette sensation de toucher. Même ma femme n’arrivait pas à me faire frissonner de cette façon. Je lève les bras, l’instant qu’elle me retire mon t-shirt. Je pose une main sur ses cheveux, fermant les yeux, profitant des baisers sur mon torse. Mon amour… Je descends ma main à sa nuque que je caresse doucement. Dans mon pantalon, la bosse commençait à se faire sentir. Je viens détacher mon pantalon pour y être moins serrer. J’ai tellement envie de toi, si tu savais. Je viens attraper ses lèvres des miennes, pour l’embrasser langoureusement, faisant danser nos langues ensemble. Je la force à se reculer. Je descends mes mains pour lui retirer son vêtement. J’avais hâte de la revoir nue, elle m’avait tellement manqué. Mes mains se glissent sur ses hanches pour la caresser, sa peau était si douce. Tu es si belle mon amour. Je viens la coller contre moi et j’embrasse le creux de son cou, gémissant doucement contre sa douce odeur que j’aimais tant.

lle n’avait pas ressenti cette sensation depuis tellement longtemps, elle n’avait pas eu d’homme depuis Kaleb. Puis le destin les avait faire se retrouver, elle passa une main dans les cheveux de son amour. Aphro’ était heureuse et amoureuse de cet homme qui était le sien, elle avait aussi envie de lui et dit : « Moi aussi j’ai envie de toi mon cœur. Mon corps te réclame depuis tellement longtemps si tu savais. ». Elle se retrouva en dessous et lui sourit en gémissant doucement, elle passa une main sur son corps et huma l’odeur de son homme qui lui avait tellement manqué. Elle frémit bruyamment en sentant les mains de son amour sur elle. Son corps réclama son homme, elle savait qu’ils avaient un petit moment devant pour se retrouver le plaisir d’être ensemble. Elle se frotta lentement contre lui et lui dit : « Toi aussi tu es tellement beau mon amour, allons sur le lit pour nous retrouver mon chéri. ».

e ne lâche pas sa main, nous dirigeant jusqu’au lit, retirant mes vêtements en chemin. Je me retrouve nu moi aussi. Je m’assois sur le lit et la fais asseoir sur moi. Je viens l’embrasser langoureusement, caressant ses courbes. J’empoigne ses fesses fortement dans mes mains et je frotte mon membre contre sa virginité pour encore plus m’exciter. Je viens baiser son cou. Mon amour… Je murmure dans le creux de son cou. J’hume sa douce odeur qui m’avait manqué, je ne l’avais jamais oublié, mais maintenant j’étais rassuré de retrouver cette odeur. Je viens caresser le creux de ses reins, sentant ses doux frissons sous mes doigts. Tu m’excites tellement… Je la colle à moi, profitant de ces préliminaires.

ls étaient maintenant tous les deux nus, sur ce lit qu’ils avaient partagé pendant de nombreuses années. Elle avait enfin retrouvé la chaleur et l’amour du corps de l’homme de sa vie. Elle savait qu’elle n’allait maintenant le voir tous les jours au travail. Ils allaient avoir une vie de famille presque normale. Elle était tellement contente que le destin puisse les réunir à nouveau, elle en profitait au maximum. Elle adorait quand il était ainsi avec elle, son corps avait gardé chacune de ses caresses en mémoire. Elle commença à lui griffer le dos, comme toujours quand il la possédait. Oui elle était possédée par son amour et par son désir. Elle sentait comment son membre était désireux de passer à autre chose que les préliminaires.

Elle frissonnait tellement qu’on aurait cru qu’elle avait la chair de poule, mais non c’était son désir qui s’exprimait. Elle donna un léger coup de rein, qui fit entrer son homme en elle. Elle se mit à gémir en disant : « Oh mon amour, mon doux, mon tendre amour. Je t’aime tellement fort. ». Elle se mordilla la lèvre inférieure pour éviter que ses cris puissent réveiller l’enfant dont la chambre n’était pas si loin que ça. Elle l’embrassa avidement et caressa le corps de son amour et amant qui lui avait tellement manqué.

e me suis glissé en elle, avec une telle douceur, l’embrassant. Je la colle à moi. Son corps m’avait manqué. Son amour m’avait manqué. Sa présence encore plus. Je voulais que ce moment dur pendant des heures. J’y passerais toute la nuit s’il le fallait. J’en oubliais même que j’avais un fils, tellement j’étais pris dans ce moment entre nous deux. Je caresse sa joue, j’embrasse sa machoire, je m’élance en elle doucement au début jusqu’à accélérer la cadence à un moment donner. Je baise le creux de son cou, glissant ma main sur son corps, caressant sa douce peau, jusqu’à atteindre sa virginité de mes doigts entre nous, titillant son bouton de fleur. Je t’aime si fort, tu es si belle. J’aime te faire l’amour, ça m’avait tant manqué. Je viens mordiller sa lèvre inférieur tout en l’embrassant avec passion. Mon regard ne lâchait pas le sien, je voyais ses yeux briller pour moi, je viens embrasser le coin de son œil, sentant son doux frisson sous mes lèvres. Je rougis.

phrodite sentait son homme se glisser en elle, elle était tellement bien avec lui. Il était l’unique homme à qui elle était donné. Elle passa une main dans les cheveux de Kaleb, elle était contente de passer un moment uniquement avec lui. Loïc était en train de dormir à point fermé comme toujours quand il faisait sa sieste. Elle commença à gémir bruyamment oubliant Loïc qui était juste à côté, il n’avait qu’eux. Elle était la plus heureuse des femmes. Elle embrassa Kaleb avidement, elle se mit à se cambrer tellement elle suivait le mouvement que lui imposait son homme. Elle était des plus heureuse, puis elle changea la position et se mit sur lui.

Elle le regarda et en passant ses mains sur le torse de son homme et lui dit : « J’en avais tellement envie depuis qu’on s’est revenus. J’aime quand tu es ainsi avec moi mon amour. Possède-moi mon amour, j’ai tellement envie de toi. ». Elle commença à se cambrer en gémissant en l’embrassant langoureusement et fit un petit sourire en coin.

e frissonnais de tout mon corps. Je caressais le sien et j’étais fier qu’elle m’aimait autant, malgré ma situation de vie. Je suis quand même dépendant de deux femmes, sachant qu’en avoir qu’une seule me rendrait dingue. Je l’embrasse avidement, me collant à elle, fusionnant à son corps, notre sueur se mélangeant ensemble. Je baise son cou, lui faisant l’amour avec tendresse et passion. Je t’aime tellement tu sais, je regrette d’être parti, de vous avoir abandonné, je donnerais n’importe quoi pour revenir en arrière tu sais. Je me relève pour m’asseoir sur le lit, je caline le creux de ses reins. Je pose ma tête dans le creux de son cou et je bouge des reins en elle, gémissant avec douceur. Je suis si bien en ce moment… J’attrape ses fesses, les empoignant fermement dans le creux de mes mains. Je me sentais si serré en elle. J’aimais ça. Je vais… demander le divorce. Je ferme les yeux et je souris en coin, sans qu’elle le voit. Je sais que ça ne sera pas facile, que je vais devoir me battre au plus haut point pour l’obtenir, ça ne sera pas facile.

phrodite regardait l’homme qu’elle aimait plus que tout au monde, elle caressa sa peau. Elle était tellement en manque de son corps depuis un an. Elle savait qu’elle allait le revoir, son cœur n’avait jamais cessé de battre pour lui. Il était toute sa vie avec Loïc, elle caressait sa main et l’embrasait. Elle frissonnait à chaque marque d’amour qu’il l’honorait. Elle l’écoutait avec attention, chacun de ses mots lui donnait des frissons et lui dit : « Moi aussi je t’aime tellement, oui je sais que tu m’aimes Kaleb. Chut c’est le passé mon amour, parlons de notre présent et de notre avenir. Je veux qu’on soit à nouveau heureux tous les trois. ». Elle était sur lui, elle suivait tous ses mouvements, ils étaient à nouveau des moments d’intimité qui lui avaient tellement manqué. Il y avait aussi les moments qu’ils avaient ensemble hors acte. Elle aussi était bien pendant ce moment et lui dit : « Moi aussi je suis tellement bien en ce moment. On s’est retrouvé mon amour … ». Elle était tellement serrée, mais elle était heureuse de passer ce moment d’amour et de tendresse. Elle lui mordilla la lèvre inférieure et lui sourit tendrement, elle le regarda étonnée et lui dit : « C’est vrai mon amour ? Tu vas faire ça ? Je … suis tellement heureuse, mais tu sais ce que ça être dur voir éprouvant pour toi. Regarde-moi mon chéri, s’il te plaît … ». Elle l’embrassa langoureusement avec tellement d’envie et le serra contre son cœur.

’ouvre les yeux pour plonger mon regard dans le sien. Je caresse ses joues, je l’embrasse avidement et puis je lui dis. Je t’aime si fort, je l’aime elle aussi, mais c’est toi l’amour de ma vie. Oui ce sera dur, mais ce sera comme une cure de désintoxe et j’espère que tu seras là pour m’épauler dans mes durs moments de ce chemin dans ma vie. Je caresse ses hanches, je la laisse me posséder à son tour. Je plonge mon visage entre ses seins. Je caresse le creux de ses reins, la collant contre moi. Je sais très bien que je risque de faire des gaffes, d’essayer d’aller voir ailleurs pendant cette transition dans ma vie, mais par chance qu’elle bosse avec moi, qu’elle sera 24H avec moi, ça m’évitera ce genre de connerie. J’attrape ses fesses dans le creux de mes paumes de mains, je gémis plus fortement, sur le point de jouir en elle. Je t’aime si fort. Je m’enfonce profondément en elle, sentant ma semence quitter mon sexe, un grognement sourd en sort de mon corps et je jouis pleinement. Je sentais mon liquide s’éparpiller autour de ma verge, continuant de m’élancer en elle. Je l’embrasse avidement, je ne voulais pas que ça se termine maintenant. Je me retire et je viens embrasser son cou. Je n’ai… jamais jouis autant… Je plonge mon visage dans le creux de son cou, reprenant mon souffle.

phrodite était surprise de bonheur, quand il lui dit qu’il allait divorcer. Elle savait qu’il fallait qu’elle soit là pour lui. Elle l’embrassa avidement à son tour puis lui dit : « Moi aussi je t’aime si fort mon amour, tu sais que je serais toujours là pour toi. Je serais toujours là pour toi, tous les jours du reste de ma vie je serais à tes côtés. On a cette chance de travailler ensemble, je pourrais t’épauler mon cœur. ». Elle passa une main dans ses cheveux et lui dit : « Tu pourras venir avec moi chercher le petit à la crèche. Il sera des plus heureux. Je t’aime tellement fort mon cœur. ». Elle se mit à frémir à chacune de ses caresses, son corps n’était rien qu’à lui. Elle respirait de plus en plus fort, elle n’avait plus cette douleur de le laisser partir maintenant. Elle serait sienne toute la journée et même la nuit. Elle était heureuse avec l’amour de sa vie. Elle le regarda et lui dit : « Mon corps t’appartient, mon cœur t’appartient et ma vie t’appartient à jamais Kaleb. ». Elle sentait le sexe de son amant se gonfler tellement, elle se mordilla la lèvre inférieure et sentit qu’il se déversa en elle. Elle l’embrassa à nouveau avec envie et caressa ses cheveux. Elle aimait sentir le souffle de son homme dans son cou, cela lui avait tellement manqué. Elle lui fit un tendre baiser sur son front et versa des larmes de bonheur en silence. Elle venait de retrouver l’homme de sa vie et il allait divorcer pour leur famille. pour elle cela était un des plus beaux cadeaux qu’il venait de lui faire.

’étais venu en elle, je baise son cou et j’attends un moment avant de me retirer. Je caresse ses côtes, ses hanches, le creux de son dos et puis ses fesses. Je passe ma main entre celle-ci, un jour j’aimerais essayer ça avec elle… me sentir encore plus serré entre ses fesses. Je viens l’embrasser et je me retire de son intimité. Je la sers dans mes bras. Il est en train de faire la sieste à côté en ce moment, mais oui après le boulot, il est normal qu’on aille le chercher ensemble non? Nous sommes une famille. Je souris et caresse sa joue, venant embrasser son cou, profitant de ce tendre moment entre nous deux, le plus possible avant que Loïc ne se réveille. J’embrasse ma douce et caresse sa joue. On se fait un resto ce soir? Que toi et moi? Si tu as quelqu’un pour garder Loïc, si non on fera un autre soir. Je lui souris et je viens l’embrasser encore. Je l’aime tellement, elle est toute ma vie à moi aussi. Espérant que je ne me trompe pas et que j’arriverai à n’avoir qu’elle dans ma vie.

Aphrodite était comme dans un nuage, elle était la plus heureuse de le retrouver. Son fils était en train de dormir, elle avait refait l’amour avec son homme. Elle frissonnait dans tous les sens, elle savait qu’elle avait cette chance qu’il soit à nouveau d’eux. Ils allaient à nouveau former une famille pour son plus grand bonheur. Elle l’embrassait à nouveau et lui dit : « Oui après le travail, on passera des moments en famille. ». Elle profitait de son amoureux, il était tellement beau, Loïc lui ressemblait tellement. Elle était heureuse de le voir avec elle dans ses bras, elle n’avait plus peur de rien maintenant qu’il était là. Elle se mit à genoux sur le lit et lui dit : « Oh oui je peux demander à maman qu’elle puisse le garder pour la soirée et même la nuit si tu veux. Elle sera contente de le voir, elle le voit que très rarement en ce moment. ». Elle prolongea le baiser de cet homme qui était toute sa vie et son avenir.