 |  Sujet: you just want attention (tristan) Sam 25 Aoû - 16:11 | |
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Parker, Tristan
ft. josh hartnett ≈ crédit@tumblr.
"it looks as though we're running out of words to say and love's floating away"
(identification complète) tristan parker (âge) 37 ans (lieu et date de naissance) le 13 juillet 1981 à Portland (statut civil) coeur à prendre, mais à éviter comme la peste si vous voulez un conseil (emploi ou études) consultant en communication, organisateur d'évènements (orientation sexuelle) les femmes sont son lourd fardeau (statut financier) $$$$, ne manquer de rien, dépenser comme on veut, liquider ses économies, s'en refaire aussitôt. L'argent vient et s'en va, mais au final ses comptes ne sont jamais vides. (traits de caractères) professionnel, charmeur, sanguin, manipulateur, secret, vif, franc, cru, animal, taiseux, sentimental, passionné, intelligent, séducteur, joueur, bluffeur (doppelganger) Josh Hartnett (groupe choisi) remember me
double jeu Tristan, c'est le gars que tout le monde connait dans le domaine de l'évènementiel. Le gars qui a des contacts dans tous les domaines et qui organise les meilleurs afterwork à Portland. Cette bouille d'ange sympathique avec qui on rit, on ragote, on se détend et on se sent bien. Toujours propre sur lui dans son costume, il est charmant, séduisant, il a de la répartie, il est intéressant, intelligent, il est vif d'esprit et toujours un mot à vous adresser pour dresser un sourire sur vos lèvres. Mais sous son col blanc, c'est le diable en personne qui se cache parfois. Il est sanguin et cède souvent à la violence. Il a du mal à retenir ses poings, surtout quand ça touche à la passion. Il se consume et se nourrit du mal qu'il fait. Il aime détruire les autres, jouer, blesser, c'est un bourreau, un tortionnaire. Il est franc, il tranche dans le vif. Il vous traite comme vous aimeriez qu'un salaud vous traite. Il vous rend accro en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. Son sourire est aussi glaçant que fondant.
l’appât du gain Le jeu. Son plus grand vice, et ce dans tous les domaines. Parier de tout, parier pour un rien. S'il a le flair dans le domaine professionnel, il n'empêche qu'il se brûle les ailes dans l'ombre. Dans le domaine des courses de rue illégales, Tristan chevauche sa moto depuis une bonne quinzaine d'années. Il parie, souvent sur lui. Il met tout en jeu. Il rafle la mise ou perd bien plus que ce qu'il possède en réalité, mais il se refait. Un cercle vicieux et incessant qu'il ne quittera jamais. C'est sa drogue, une dose dont il a besoin régulièrement et dont il ne peut se passer.
le sexe Hors boulot et professionnalisme, c'est le seul moyen qu'il ait trouvé pour communiquer avec la gente féminine. Le sexe pour ce qu'il est, dans son plus simple appareil. Le sexe comme il devrait être pour tout le monde : animé, bestial, sensuel, instinctif, sans pudeur, une explosion de saveurs et de sensations. Tristan, qu'il sous dans un lit, sur un canapé, sur la table du salon, le bureau, dans une voiture ou dans une ruelle, qu'importe, il est chez lui et la femme qu'il a entre ses mains est sienne pour quelques étreintes. Si cet homme pouvait vous exprimer une once d'amour, ce serait par ce biais-là. Il est complètement brisé, et c'est une part de lui bien enfuie. Pour cacher sa douleur et son manque, il parait sûr de lui, avenant, confiant, robuste et intouchable.
les valeurs Il a perdu ses parents dans un accident alors qu'il n'avait que huit ans. C'est sa grand-mère qui a pris le relais après le drame. Sans elle à ses côtés, encore aujourd'hui, c'est tout son monde qui s'écroulerait. Il lui doit absolument tout. Ce qu'elle lui a appris et inculqué, les chances qu'elle lui a données, le soutien lors de ses études, l'investissement dans ses premières années dans le monde du travail. Il passe la voir tous les mardis et ne rate jamais un rendez-vous. C'est grâce à elle si Tristan est encore capable de rire franchement aux blagues qu'on lui raconte, qu'il peut se montrer à l'écoute et présent. Ses amis se comptent clairement sur les doigts d'une main, mais bordel ce qu'il ne ferait pas pour eux. C'est quelqu'un d'ambitieux, qui se bouge, qui ne peut se contenter du minimum, et il en va de même dans ses amitiés.
"Life feels like Pac-Man sometimes, I guess. It’s the same game over and over again. Same board. Same ghosts. Sometimes, you get a bunch of cherries but eventually and inevitably, those ghosts catch up with you."
≈ destruction time
Il triture le faire part dans tous les sens, si bien que le beau papier blanc aux inscriptions dorées est chiffonné. À vrai dire, il l’est plus pour la simple et bonne raison que quand il l’a reçu, il l’a automatiquement envoyé valser à la poubelle. La date indiquée est celle de ce jour. Le vingt avril deux-mille quatorze, ou le début de la fin. Il s’habillerait bien comme pour aller à un enterrement, mais il a sorti le costume de circonstances. Bleu marine et une chemise blanche impeccable. Il vérifie le nœud de sa cravate dans le miroir, l’ajuste et finit par l’envoyer valser sur le sol. Cette journée n’est qu’une fichue supercherie. Il fait les cent pas dans son appartement depuis des heures, si bien que le compte à rebours dans sa tête se fait de plus en plus pressant. Il ne faudrait pas qu’il soit en retard. Faut-il même qu’il se présente. Il y a quelques mois, il s’était demandé ce qu’elle cherchait à faire en l’invitant à son mariage. Pourquoi une femme voudrait-elle que son ex-petit-ami soit présent pour le plus beau jour de sa vie alors que tous deux ne partagent rien depuis des mois. Ils ne sont même pas amis. Loin de là. Et puis, comme s’il avait pu l’oublier, il s’est souvenu que c’est de Nikki qu’on parle. Une Nikki sournoise, vile, rusée, une femme qui par ce simple geste avait décoché une flèche et l’avait atteint en plein cœur. Il était la cible directe de ce mariage. Impossible pour lui de croire qu’elle avait trouvé l’amour et qu’elle s’unissait à cet homme en croyant pouvoir le chérir éternellement. Et si tel était le cas, il se devait de le vérifier par lui-même. Ne pas venir aujourd’hui serait la plus grosse faute qu’il puisse faire. Ce serait lui montrer qu’elle a réussi, qu’elle l’a atteint, qu’elle a gagné. Mais la partie ne fait que commencer et Tristan est passé maitre dans l’art des faux semblants. Sourire toute la journée, féliciter les jeunes mariés, leur offrir le meilleur cadeau sur leur liste, poser à leurs côtés pour les photos, porter le meilleur toast de la soirée, danser avec la belle-mère, écrire un mot dans le livre d’or, tout ça, il en est résolument capable. Hors de question de lui montrer une once de regrets, ou même encore d’amour. Cap de cesser de l’aimer ? Il ne l’avait jamais été. Jouer le jeu et faire tout comme ? Évidemment que son égo avait fait le reste. Ces deux-là se déchiraient et se déchirent encore. Il rêve de voir des flammes de désir dans ses yeux, de sentir son souffle dans sa nuque lors des félicitations, de semer le doute, de lui mettre la pression, de la rendre jalouse avec d’autres femmes, de l’arracher un instant à cette soirée, de passer ses mains sous sa robe, d’écraser ses doigts sur ses hanches, de s’enivrer de son odeur, de briser la promesse qu’elle passait quelques heures plus tôt à peine. Il veut qu’elle se consume sous son simple regard, qu’elle se sente vivre grâce à lui, à distance. Qu’elle se rende compte que sans lui, elle n’est rien, et qu’elle peut se marier avec le premier gars qui passe, ce n’est pas ce qui l’effacera de sa mémoire. Elle l’a dans la peau tel un poison dans les veines, et son influence ne s’est pas estompée depuis leur rupture. Il le sait, parce que l’inverse est vrai aussi. Tristan n’existerait pas sans Nikki. Elle est son point faible, son talon d’Achille, ce qui le détermine en tout point. Il renoue sa cravate. Réajuste son col. Abandonne sa mèche rebelle qui descend sur son front. Comme lui, elle refuse d’être dressée. Une moue. Un sourire en coin. Il est prêt.
(prénom/pseudo) Charlotte/chachou (pays) Belgique (ton avis sur le forum) vous dépotez grave ! (tu nous a trouvé où?) sur Bazzart (type de personnage) inventé
Dernière édition par Tristan Parker le Lun 27 Aoû - 6:29, édité 11 fois |
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| | Sujet: Re: you just want attention (tristan) Sam 25 Aoû - 19:32 | |
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- il sera toujours danny de pearl harbor dans mon coeur 
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