| Sujet: je veux que tu passes un disque de queen (jorice) Mer 5 Sep - 21:36 | |
| Stevenson, Jorice ft. lily james ≈ crédit@lilyjamessource.
"see that girl, watch that scene, dig in the dancing queen "
(identification complète) Jorice Elizabeth Stevenson. Pour maman, c'est "Joly", une contraction de Jorice et Elizabeth. Comme si ce n'était pas déjà un nom hors du commun. Stevenson, c'est banal, littéralement le fils de Steven mais tout le monde s'en fout hein ? (âge) vingt-cinq ans, bientôt vingt-six, toutes mes dents, tout le monde connait la blague. (lieu et date de naissance) 31 Octobre 1992, oui la fête d'Halloween est ma fête préférée, être une autre personne le jour de son anniversaire, on ne pouvait rêver mieux (et je ne suis même pas sarcastique) Je suis née dans la plus belle des villes qu'est la Nouvelle-Orléans, Louisianne. (statut civil) Célibataire, j'ai abandonné l'empathie du coeur pour le moment. (emploi ou études) graphiste dans une petite agence 360. monter des vidéos, créer vos cartes de visites, m'occuper de vos faire-parts de vos mariages, tout une passion ! (orientation sexuelle) hétérosexuelle, j'aime les hommes, les hommes ne m'aiment pas. (statut financier) $$$$, on gagne sa vie comme on peut. tant que je peux payer mes factures, mon loyer et mes voyages, le reste, on s'en fout. Mais oui, je pourrais vivre sans travailler. (traits de caractères) Je souffre du syndrome de l'imposteur dans ma vie professionnelle comme dans ma vie personnelle. Je ne comprends pas qu'on puisse me féliciter, m'apprécier "autant". Mon travail est bon oui, mais je n'en suis jamais satisfaite. Et quand on remporte un appel d'offre, quand on est sollicité par de grandes marques, quand on reçoit des compliments, pour moi, ce n'est pas grâce à moi. J'y ai participé mais même quand ça concerne le graphisme, je ne joue pas la fausse modestie. Non, pour moi, ce n'est pas grâce à moi. Alors imaginez dans ma vie personnelle, je ne comprends pas comment on puisse m'aimer, me mettre sur un piédestal carrément parfois. Je me dis que c'est juste grâce à la renommée de mes parents. Ce qui m'amène au deuxième point. Je n'ai aucune confiance en moi. Alors oui je suis grande gueule, sarcastique et compagnie mais quiconque me connait sait que je n'ai aucune confiance en moi et que je passe mon temps à douter de moi. Ce qui fait de moi une angoissée de la vie. Crise d'angoisse, crise de panique, terreur de nuit, insomnie, migraine et j'en passe sont devenus mon quotidien tant j'angoisse. Alors que je suis une grande je m'en foutiste. J'ai arrêté de courir après les gens, j'ai arrêté de faire attention aux détails, aux gens. Je vis pour moi. Les autres, on verra après. Sinon, je suis très drôle, mais à mon insu. Je suis maladroite, je suis une gaffeuse de première, j'ai toujours le mot pour rendre une conversation très gênante. Mais je ne le fais jamais exprès. Au début, ça énervait. Maintenant, les gens attendent avec impatience la prochaine connerie que je vais faire. Et je suis très, très, très flemmarde. Sachez que c'est très important de savoir ça. En gros, je suis une contradiction à moi-toute seule. Mais je préfère dire que je suis une femme polyvalente, qui peut plaire à tout le monde. Ou pas.(doppelganger) lily james. (groupe choisi) remember me.
UN~. Voyager est vital pour moi. Je ne sais pas rester en place. Quand j'étais en vacances, j'accompagnais ma mère dans ses déplacements pour National Geographic. Quand elle ne pouvait m'emmener avec elle, j'allais rejoindre ma grand-mère en Europe, sur la côte Croate, où elle file ses jours heureux. Et quand j'ai eu cette majorité tant attendue, j'ai pris une année sabbatique et je suis allée à la découverte du monde. 35 pays en 11 mois, et tout autant de souvenirs récoltés. DEUX~. Je tiens cette passion pour le dessin de mes parents. Tous deux artistes, l'une photographe, l'autre architecte, d'aussi loin que je puisse me souvenir, j'ai toujours eu un crayon dans les doigts. Je me sais douée mais j'ai préféré en grandissant abandonner mes pinceaux pour me tourner vers la tablette graphique. J'ai décidé d'en faire mon travail quand mon père m'a demandé de m'occuper de toute son identité visuelle. TROIS~. Contrairement à ce qu'on pourrait croire avec ma "gueule d'ange à qui on donnerait le bon dieu en confession", parole de ma mère, je ne suis absolument pas timide et encore moins quelqu'un qui se laisse facilement marcher dessus. J'ai la réplique facile, le sarcasme brûlant et un crochet du droit sec. Je ne m'emporte pas si facilement, il en faut beaucoup pour me mettre à bout, mais en attendant, je ne me retiens pas de répondre. QUATRE~. Je suis accro aux bonbons. Je peux me passer de la clope, ne pas boire pendant des semaines ne me dérage absolument pas. Mais les bonbons.. Les sucrés, les doux, les piquants, le réglisse, la meringue, tout y passe. Sauf le chocolat. Je n'aime pas le chocolat. J'ai toujours un sachet de réglisse dans mon sac, mon péché mignon. CINQ~. Après les voyages et le dessin, cuisiner arrive en troisième position. Préférence pour la cuisine italienne, évidemment, mais les plats mexicains sont ma spécialité. Je fais un guacamole d'enfer. SIX~. J'ai rencontré Dieu. Un jour, j'ai accompagné mon père sur un de ses chantiers pour la mise à jour de son site. Il m'avait juste dit qu'on allait voir Cate. Ses clientes, je vous avoue que je m'en fous un peu. Je sais qu'il a quelques personnes dont on doit taire les informations personnelles à tel point qu'il signe des contrats et des clauses à foison. Bref. Je l'accompagne sur Beverly Hills, et je commence déjà à rêver de ma future vie sur les collines quand on arrive à destination. La seule chose dont je me souviens de mes premiers mots avec Cate Blanchett, ce sont "je vous aime" quand elle m'a demandé si j'étais bien Jorice. Je suis restée assise à la table tout le long du rendez-vous à la dévorer des yeux. Je suis amoureuse d'elle, ok ? SEPT~. En parlant d'amour, j'ai été fiancée. Je pense pouvoir entrer dans le record des fiançailles les plus courtes : deux jours.
≈ ton corps dans ma rétine c'est sensorielJe l’observe du coin de l’oeil tout en sirotant mon cocktail. Je sais qu’elle a arrêté de parler parce qu’elle a vu que je n’écoute plus. Elle a tourné la tête pour raconter ses vacances à son voisin. Moi je n’ai d’yeux que pour lui. Je ne me cache même plus de le regarder. Par moment il croise mon regard, me fixe, et reprend sa conversation comme si de rien n’était. Et ça me frustre. On est très fort à ce jeu. À se frustrer l’un l’autre à distance. Quand je suis en train de rire avec les garçons et que lui est coincé dans une conversation qui ne l’intéresse pas, à l’autre bout de la pièce, je sens son regard sur moi. Quand lui raconte une histoire à une pote et que je suis à l’autre bout de la table, qu’il a ce sourire suffisant aux lèvres juste pour me narguer, parce qu’il sait que je l’observe pour tenter de lire sur ses lèvres. Et personne ne s’en rend compte. Enfin, on croit que personne ne s’en rend compte. Mais tout le monde le voit. Quand ils parlent de nous à des inconnus, on est décrits comme ceux qui se voilent la face, qui ne se rendent pas compte de ce qu’ils ont. Si. On sait ce qu’on a. On est conscient de ce qu’il y a entre nous. Notre relation qui n’est ni amicale ni amoureuse est notre force et notre descente aux enfers. On ne la comprend pas. On ne sait pas comment la nommer. Mais elle est là. Elle existe. On ne peut pas aller à l’encontre. On aura beau vouloir y mettre un terme, il suffit qu’on se voit après des semaines d’absence pour se rendre compte qu’elle est toujours là. “Jo ? Oh, Jo, tu m'écoutes ?“ Je sursaute et renverse de mon cocktail sur ma chemise. “Putain. Oui ? Je reviens, je vais essuyer la tâche.“ Je me lève sans la regarder et me dirige vers les toilettes. Y a foule de monde, j'ai arrêté de dire pardon en tentant de passer. A chaque personne bousculée, je renverse un peu d'alcool un peu partout. Je m'arrête pour boire cul sec ce qu'il me reste, colle le verre vide contre le torse d'un mec qui ne comprend rien, et finit ma course dans la salle de bain, vide par chance. Je ferme la porte derrière moi pour ne pas être dérangée par deux amoureux en rut, et enlève ma chemise pour la passer sous l'eau. Je suis maniaque. Je ne supporte pas les tâches, encore moins d'alcool, encore encore moins de rhum et de coca. Je cherche dans le meuble le produit détachant et hallelujah, un mec qui range ses produits par type. J'en verse sur ma chemise et commence à frotter. Je m'assois sur la baignoire le temps que ça prenne, et flâne sur mon téléphone en attendant. Un mal de crâne commence à s'installer. Maintenant que je suis au calme, l'alcool monte, la musique résonne en fond et je me rend compte que j'ai encore trop bu sans m'en rendre compte. C'est traitre, bordel. Je récupère ma chemise et ouvre l'eau du robinet. Je commence à rincer l'endroit où il y a le produit quand la porte s'ouvre. Je sursaute tellement fort que j'en échappe ma chemise dans l'eau complète. “Putain mais ça ne va pas ?“ Je regarde dans le miroir qui se trouve derrière moi. Et au regard que porte Finn sur mon reflet, je me souviens que je suis en soutien-gorge devant lui. Mon réflexe est de porter mes bras autour de ma poitrine. “Ça va, je ne te dérange pas ?“ Sa seule réaction est de rire. Je lève un sourcil et éteint l'eau qui coule. Fait chier. Mon chemisier est littéralement trempé, je me retrouve en sous-vêtements devant Finn, tout va bien. “Oh ça va, on a dormi ensemble un nombre incalculable de fois, te voir en sous-vêtements n'est que la suite logique des choses.“ Je lui balance un ta gueule violent et tente d'essorer mon chemisier. En soi, il n'a pas tord. Il m'a vu en t-shirt/culotte. Voir mon soutien-gorge n'est que la suite logique des choses. Je ris toute seule en me demandant quelle est la prochaine étape, et vu son regard, lui aussi pense la même chose que moi. “On se casse d'ici ?“ Là, j'arrête mon geste et le fixe dans le reflet du miroir. Pardon ? On ne s'est pas vu pendant des semaines, pas parlés pendant tout autant de temps. Je n'avais aucune nouvelle, rien, et il redébarque comme ça ? Il me demande de partir avec lui ? “Je ne peux pas. Je suis en soutien-gorge, je te rappelle.“ Et c'est la seule raison que je trouve pour ne pas bouger. Je le vois enlever son pull et me le tendre. Évidemment. Il a toujours réponse à tout. Il a un t-shirt en dessous de son pull, il peut me le passer pour qu'on puisse partir. Évidemment. Il me fait signe de bouger, et moi, conne que je suis, faible que je suis, j'attrape son pull, l'enfile, récupère mon chemisier essoré et le suis au dehors. Ce n'est que quand je suis assise dans sa voiture que j'envoie un message à ma pote pour lui dire que je suis partie avec Finn. Et sa réponse ne me surprend même pas. “Comme c'est étonnant.“ Non. Effectivement. Ce n'est absolument pas étonnant.≈ tu m'as offert c'que le chagrin fait de mieuxFinn se tient droit debout devant moi. Le port du menton fier, la posture droite, comme un prince. Mon prince. Il ne cille pas, parce qu'il est bien trop fier, bien trop fort pour montrer ne serait-ce qu'une émotion. Et pourtant, je le connais, Finn, je le connais comme si je l'avais fait. Chaque détail de son visage transpire sa haine pour moi. Chaque absence de sentiment, de mouvement, prouve son dégoût à mon égard. Et tant mieux. Qu'il me déteste. La rupture n'en sera que plus facile. Je veux qu'il me déteste. Qu'il trouve quelqu'un qui lui corresponde mieux que moi. Il ne mérite pas ça. Non, il mérite tellement mieux qu'une fille perdue comme moi. Comment un homme comme lui pourrait aimer une fille comme moi ? “Je pense qu'on s'est tout dit, Jorice.“ Fini les baisers sur le front. Fini les câlins inopinés en pleine soirée. Fini les nuits de douceurs à regarder un film sans se parler, juste moi dans ses bras. Fini les rire complices. Fini le regard empli d'amour. Je sais que je fais la plus grosse erreur de ma vie. Mais lui a su remonter la pente quand moi j'ai préféré la dévaler. J'ai envie de lui dire que c'était de sa faute. Qu'il n'avait qu'à pas partir quand on s'est rendu compte qu'on était fait l'un pour l'autre. Qu'il n'avait pas à me pousser dans les bras de Jess. Que c'est entièrement de sa faute si j'ai accepté sa demande en mariage. Que c'est entièrement de sa faute si le soir où je lui ai annoncé que Jess venait de faire sa demande, on a couché ensemble. Sa faute. Putain, il ne pouvait pas se réveiller avant ? Pourquoi il a fallu attendre que je tombe amoureuse, enfin que je crois tomber amoureuse de Jess, pour que lui arrive avec son sourire et son regard et me fasse douter ? Il n'avait pas le droit. J'étais bien avec Jess. J'étais bien dans notre routine. Je ne peux pas faire ça à celui qui m'a aimé pendant plus d'un an. Je ne peux pas continuer avec lui alors que j'ai fait l'impardonnable avec l'interdit.
Je me recule d'un pas et Finn ne fait rien pour me retenir. Je viens de briser presque dix ans d'amitié parce que je suis indécise sur qui j'aime. Parce que ma conscience m'empêche d'être heureuse avec la personne que j'aime vraiment. Et depuis probablement autant de temps. J'attrape mon sac tombé sur le parquet et me dépêche de sortir. Je le sens bouillir, je vois sa veine ressortir, ses muscles se contracter, ses mains se serrer. Il a besoin de hurler et ne le fera pas tant que je serai encore là. Ce n'est que quand je referme la porte derrière moi que j'entends le premier bruit de brisure. Et un autre. Un cri. Les larmes me montent et je ne supporte pas de l'entendre souffrir. Je cherche mes clés de voitures tout en courant et ce n'est que quand je suis assise que je relâche moi aussi la pression et me met à pleurer. Mon téléphone sonne. C'est mon frère. Il veut savoir à quelle heure j'arrive. Il ne me demande pas comment ça s'est passé, si je vais bien, il sait très bien que dans tous les cas, je mettrais du temps à en parler, que je ne le ferai que quand je serai prête. J'arrive dans trois heures. Je ne pense même pas à dire au revoir à Seattle. J'y ai fait mes adieux quand j'ai détruit ma relation avec les deux hommes qui constituaient ma vie. ≈ ain't got no tears left to cryTO DO LIST
- Envoyer la maquette à Steve
- Faire des courses pour l'anniversaire du couillon de frère
- Passer au pressing récupérer la robe de Maman pour l'inauguration
- Ne surtout pas lever la tête, Finn est dans le café d'en face.
- Eviter de trembler parce que ça fait un an que je ne l'ai pas vu.
- Ne pas être jalouse parce qu'il se trouve avec une fille en ce moment.
(prénom/pseudo) Nawelle/honestirony (pays) france. (ton avis sur le forum) il est tout mignon tout beau. (tu nous a trouvé où?) sur bazzart. (type de personnage) scénario, pré-lien, inventé? inventé de toute pièce.
Dernière édition par Jorice Stevenson le Ven 7 Sep - 13:20, édité 7 fois |
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