| | i'm a creep, i'm a weirdo | |
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Kara Caldwell Portland Babes broken heart since : 29/08/2018 textos de rupture envoyés : 44 la gourmandise : 0 faceclaim : Bryden Jenkins ©️Morphine (avatar) ;
| Sujet: i'm a creep, i'm a weirdo Jeu 27 Sep - 7:23 | |
| Kara Caldwell ft. Bryden Jenkins ≈ crédit@wonderland
"mr sandman bring me a dream"
(identification complète) kara caldwell (âge) 23 piges (lieu et date de naissance) Le 1er avril 1995, ouais je sais poisson d’avril, ha ha ha qu’est-ce qu’on se marre avec cette vanne qu’a été faite seulement 99 millions de fois. A Seattle. (statut civil) célibataire endurcie (emploi ou études) Je suis dans la merde jusqu’au cou, j’ai pas une thune, je galère à mort, alors j’accepte tous les boulots tant que ça paie un peu. Un jour je suis serveuse, le lendemain je fais la mule, puis je deale. La plupart du temps je vole pour avoir quelque chose à me mettre sous la dent ou dans le pif (orientation sexuelle) hétérosexuelle (statut financier) $$$$(traits de caractères) râleuse - méfiante - froide - chiante - manipulatrice - menteuse (doppelganger) bryden jenkins (groupe choisi) no strings attached
01. pour me sentir vivante j’ai besoin de sentir l’adrénaline monter, j’hésite pas une seconde à mettre ma vie en danger ; j’adore cette sensation : le palpitant qui s’emballe, cette impression qu’il va s’arrêter de battre pour toujours... 02. je suis pas forcément aimable de prime abord, j’ai un caractère à la con et si j’ai appris une chose dans la vie c’est de se fier à personne ; j’me confie pas facilement, j’me plains pas et j’demande rien à personne (sauf quelques petits biftons). 03. même si je l’avouerai jamais, mes parents me manquent souvent, j’ai pas de nouvelles d’eux depuis que je suis partie, je regrette parce qu’à cause de moi ils ont perdu leur unique enfant, mais j’aurais fini par péter un cable si j’étais restée avec eux. 04. j’ai envie de profiter de ma vie à fond, je sais qu’elle risque d’être courte, j’ai absolument pas les moyens de suivre le traitement qui me permettrait de vivre « normalement » ; alors si je dois crever demain je veux avoir fait le max de choses 05. j’ai récemment perdu mon job, j’étais serveuse dans un bar, ils m’ont surprise en train de voler dans la caisse ; donc en attendant de trouver autre chose, je fais la manche, je gratte quelques cordes et je chante (merci papa et maman pour les cours de chant et de musique)
≈ Insert your quote here! Je sais ce que les gens pensent quand ils me voient. Ils se disent « pauvre petite chose, elle a dû grandir dans une famille de drogués, sûrement battue, peut-être même violée. Si ça se trouve ses parents sont des consanguins. Elle a pas dû être gâtée par la vie pour en arriver là. » Alors, à ces gens-là je leur dis « allez vous faire foutre » déjà et ils ont absolument tout faux ces cons. Parce que ma famille elle était plutôt normale. Je m’explique. Les parents sont des gens honnêtes, qui gagnent leur vie honnêtement, qui paient leurs impôts... En fait mes parents ils sont honnêtement chiants. Mais chiants à mourir ! Et j’ai jamais été maltraitée, battue ou violée. C’était même tout le contraire. Je suis fille unique, j’étais attendue par mes parents comme le messie ; ils essayaient d’avoir un gamin depuis un paquet d’années mais ça se terminait toujours pas une fausse couche. Ma mère est une femme assez fragile. Donc quand elle est tombée à nouveau enceinte, les doc’ l’ont mise en garde : il fallait qu’elle se ménage le plus possible sinon c’était une fausse couche assurée. Et ce serait très probablement la dernière. Ils ont fait super gaffe. Mon père était aux petits soins avec ma mère, elle restait alitée pendant des mois. Et au bout de 7 mois et demi de grossesse, elle a perdu les eaux et a senti les contractions. C’était trop tôt, mais pas le choix, fallait me faire sortir de là. Quand je suis née, j’étais un tout petit truc, pas totalement formé, je pouvais même pas respirer sans appareils. J’ai dû rester à l’hôpital le premier mois de ma vie. Mais le problème c’est que je suis née avec une malformation cardiaque. Un putain de cœur pas totalement opérationnel.
Toute mon enfance, mes parents m’ont pas lâchée une seconde. Fallait pas que je cours trop sinon j’allais m’essouffler et je risquais de faire un malaise. Fallait pas que je prenne de risque sinon je finissais hospitalisée. Ils étaient parano ! Je pouvais rien faire sans qu’ils flippent comme des malades. Donc j’ai eu une enfance chiante à mourir. J’avais de gros problèmes de concentration donc je me faisais toujours engueulée par mes enseignants. J’étais toujours la tête en l’air, à regarder pas la fenêtre plutôt que d’écouter Monsieur Robertson nous expliquer qu’un carré c’est un polygone à quatre côtés de même longueur. J’en avais marre d’être enfermée dans une bulle à l’abri de tous les dangers, de tous les problèmes. J’avais besoin de me sentir vivante. Alors j’ai commencé à faire des conneries. Je me sauvais, je courais pendant de longues minutes jusqu’à tomber dans les pommes. Je montais aux arbres, je tombais et je m’éraflais le genou, le coude ou le visage. Quand je rentrais et que mes parents me retrouvaient dans cet état ils étaient fous d’inquiétude. Et moi je m’étais jamais senti aussi vivante. Ils ont voulu que je quitte l’école pour suivre les cours à la maison. J’avais pas le choix, j’étais mineure je devais faire ce qu’ils me disaient. Et j’ai commencé à être sacrément malheureuse. J’avais plus le droit de rien faire. Je pouvais plus sortir, je pouvais plus m’amuser.
J’ai continué comme ça jusqu’à mes 15 ans. Jusqu’à mon entrée au lycée en fait. Parce que mes parents pouvaient plus me donner les cours à la maison, le niveau devenait un peu trop élevé pour eux. J’ai vu là une aubaine, une opportunité qui se présenterait sûrement jamais. Au début, je suis restée sage, je rentrais du bahut directement après les cours, je faisais pas de vagues pour pas me faire repérer. Ça a duré qu’un temps, jusqu’à cette fameuse fête. Tout le monde y était invité. Les parents savaient pas où j’allais, je leur avais inventé un bobard gros comme une maison : « je vais à la bibliothèque pour réviser avec des amies ». Et ils y ont cru. La première fête à laquelle j’assistais, y avait de l’alcool, la musique était à fond. J’ai picolé pour la première fois de ma vie. J’étais torchée quand un type m’a tendu un sachet de poudre blanche, « tu vas voir tu vas t’éclater avec ça » moi je l’ai cru, alors il m’a fait un rail et j’ai tout reniflé. Et oui, il avait raison, j’ai passé la meilleure soirée de ma putain de vie. J’ai perdu connaissance et je me souvenais plus de rien le lendemain, mais je sais que c’était la meilleure soirée que je passais depuis ma naissance. Mes parents avaient appelé la police parce que j’étais pas rentrée de la nuit. Quand ils m’ont vue sur le perron complètement défoncée j’ai cru qu’ils allaient faire une crise cardiaque. Alors je me suis marrée.
Après ça, ils m’ont retirée du lycée et ont engagé un prof pour me faire cours à la maison. Au début, je voulais pas lui parler, j’écoutais rien de ce qui me disait. J’étais trop en colère après mes parents de m’avoir fait un coup pareil. J’avais 16 ans et je pouvais pas vivre comme une gamine de mon âge. Le prof en question s’est avéré être cool, il était sympa avec moi et il me comprenait. Je me suis pas mal confiée à lui. Et comme une conne je suis même tombée amoureuse de lui. Je l’attendais impatiemment tous les jours de la semaine. Si je pouvais pas sortir et vivre comme les jeunes de mon âge, il me le faisait oublier parce que j’étais heureuse quand il était là. Et ça a dérapé. On s’est embrassés et il est parti. Il est plus jamais revenu. Je l’ai plus jamais revu. J’ai pris ce départ comme un abandon. Alors moi aussi je suis partie, j’ai fugué. J’en pouvais plus de cette vie. J’ai pris le peu d’économie que j’avais et j’ai pris le premier bus que j’ai trouvé. C’est comme ça que je suis arrivée à Portland. J’ai vécu dans la rue, je mangeais dans les poubelles et je volais quelques magasins. J’ai vite compris qu’il me fallait de l’argent. Alors j’ai accepté de rendre des petits services à des gars pas très nets. Perdre sa virginité avec un gros porc dans une ruelle dégueulasse c’est pas le rêve d’une gamine de 17 piges. S’ils allongeaient les biftons moi je m’allongeais pour eux c’était aussi simple que ça. Et j’ai continué à faire ça pas mal de temps. J’ai retrouvé ma copine la poudre blanche, ma pote de galère.
Et j’ai rencontré Gil, un mec qui trempait dans des affaires chelous. Mais il se faisait un paquet de d’oseille alors j’ai voulu le suivre. Il m’a entraînée dans des galères ! On a fait les 400 coups ensemble : cambriolages, braquages, vols à l’étalage, agressions... Mais ça payait bien et c’était le principal. Alors on a continué comme ça un bon moment tous les deux. Et il s’est fait canardé. J’ai été obligée de le laisser crever tout seul dans la rue pour me mettre à l’abri. On venait de s’attaquer à un trop gros poisson et je savais qu’il fallait pas qu’il me retrouve sinon il me butterait aussi. Alors je continue ma petite vie misérable. Je galère seule la plupart du temps. Je pionce sur des bancs ou dans des squats, des fois je me paie le luxe d’un motel miteux en compagnie des cafards. Je sais que je risque de crever du jour au lendemain, mon cœur peut lâcher à n’importe quel moment, surtout avec le train de vie que je mène. Mais au moins j’aurais vécu, j’aurais eu une putain de vie.
(prénom/pseudo) ludivine/hysteria (pays) france (ton avis sur le forum) j'aime toujours autant (tu nous a trouvé où?) bazzart (type de personnage) inventé
Dernière édition par Kara Caldwell le Dim 30 Sep - 19:37, édité 6 fois |
| | | Jimmy King Portland Babes broken heart since : 19/09/2018 textos de rupture envoyés : 161 la gourmandise : 90 faceclaim : antoine olivier pilon (avatar hoodwink, signature, crack in time).
| Sujet: Re: i'm a creep, i'm a weirdo Jeu 27 Sep - 7:30 | |
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| | | Anthea Cohen Portland Babes broken heart since : 19/09/2018 textos de rupture envoyés : 86 la gourmandise : 45 faceclaim : joey king (carson)
| | | | Kara Caldwell Portland Babes broken heart since : 29/08/2018 textos de rupture envoyés : 44 la gourmandise : 0 faceclaim : Bryden Jenkins ©️Morphine (avatar) ;
| Sujet: Re: i'm a creep, i'm a weirdo Jeu 27 Sep - 7:44 | |
| @Jimmy King quelle chanson ! je vais vite remédier à ça @Anthea Cohen merci ma belle oui j'espère que cette fois ce sera la bonne |
| | | Savannah Coleman Portland Babes broken heart since : 25/08/2018 textos de rupture envoyés : 3047 la gourmandise : 180 faceclaim : gabriella wilde ©calypsie ♥
| Sujet: Re: i'm a creep, i'm a weirdo Jeu 27 Sep - 8:21 | |
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| | | Ephrem Zinelli Portland Babes broken heart since : 25/09/2018 textos de rupture envoyés : 94 la gourmandise : 0 faceclaim : joe keery made by Lempika.
| Sujet: Re: i'm a creep, i'm a weirdo Jeu 27 Sep - 9:21 | |
| Bienvenue parmi nous, courage pour ta fiche ! |
| | | Kara Caldwell Portland Babes broken heart since : 29/08/2018 textos de rupture envoyés : 44 la gourmandise : 0 faceclaim : Bryden Jenkins ©️Morphine (avatar) ;
| Sujet: Re: i'm a creep, i'm a weirdo Jeu 27 Sep - 10:37 | |
| merci à tous |
| | | Andrea Phelps Portland Babes broken heart since : 27/08/2018 textos de rupture envoyés : 1170 la gourmandise : 0 faceclaim : Scott Eastwood
| Sujet: Re: i'm a creep, i'm a weirdo Jeu 27 Sep - 16:18 | |
| Bienvenue jolie demoiselle ! |
| | | Asher Rifkin Portland Babes broken heart since : 26/08/2018 textos de rupture envoyés : 645 la gourmandise : 150 faceclaim : bill skarsgard (c) bibi
| Sujet: Re: i'm a creep, i'm a weirdo Jeu 27 Sep - 16:34 | |
| rebienvenue et bonne chance pour ta fiche |
| | | Héliodore O'Toole Portland Babes broken heart since : 24/08/2018 textos de rupture envoyés : 426 la gourmandise : 90 faceclaim : Dominic Sherwood, by Carole71
| Sujet: Re: i'm a creep, i'm a weirdo Ven 28 Sep - 6:51 | |
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| Sujet: Re: i'm a creep, i'm a weirdo Ven 28 Sep - 9:55 | |
| Bienvenue parmi nous avec ce belle blonde Le prénom et ce titre Bon courage pour le restant de ta fiche |
| | | Bens Goldstein Portland Babes broken heart since : 24/08/2018 textos de rupture envoyés : 312 la gourmandise : 5 faceclaim : armie hammer / av@savannah; sign@astra
| Sujet: Re: i'm a creep, i'm a weirdo Ven 28 Sep - 17:43 | |
| c'te fiche trop touchante la petite kara re, en espérant que tu te sentes bien cette fois ci |
| | | Timeo Kostas Portland Babes broken heart since : 04/09/2018 textos de rupture envoyés : 149 la gourmandise : 0 faceclaim : tchalamet, cosmic light (ava), estelle bb (gif signa)
| Sujet: Re: i'm a creep, i'm a weirdo Dim 30 Sep - 9:54 | |
| j'rejoins mvdd, wow cette fiche. et bryden la plus belle olala, que dire de plus. bienvenue à la maison, hâte de découvrir ta jolie kara. |
| | | Kara Caldwell Portland Babes broken heart since : 29/08/2018 textos de rupture envoyés : 44 la gourmandise : 0 faceclaim : Bryden Jenkins ©️Morphine (avatar) ;
| Sujet: Re: i'm a creep, i'm a weirdo Dim 30 Sep - 19:17 | |
| vous êtes des amours merci pour votre accueil et vos compliments |
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| | | | Kara Caldwell Portland Babes broken heart since : 29/08/2018 textos de rupture envoyés : 44 la gourmandise : 0 faceclaim : Bryden Jenkins ©️Morphine (avatar) ;
| Sujet: Re: i'm a creep, i'm a weirdo Lun 1 Oct - 2:30 | |
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| Sujet: Re: i'm a creep, i'm a weirdo | |
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